Agenda

L’exposition "Martigues, terre de cinéma" vous plonge dans l’univers fascinant de l'histoire du cinéma et de ses tournages, entre nostalgie, créativité et passion.
Une exposition réalisée par la Cinémathèque municipale Prosper Gnidzaz, l’Union Régionale 13- PACA de la Fédération Photographique de France et le Photoclub de Martigues.
Cette exposition immersive vous invite à redécouvrir Martigues sous un autre angle !

À travers la série photo "La photographie fait son cinéma", laissez-vous emporter par des clichés saisissants réalisés par le Photoclub de Martigues et des photographes talentueux de l’URPACA.
Complétez l’expérience avec les collections de la cinémathèque de Martigues. Cinéphiles et curieux seront également séduits par une sélection d’objets anciens issus des métiers du cinéma : caméras d’époque, projecteurs, mandarines, matériels publicitaires, bobines et autres trésors qui racontent les secrets de l'évolution technique et de la promotion du cinéma !

A ne pas manquer :
- Le jeudi 17 juillet à 18h : Conférence sur l’histoire du cinéma à Martigues, par Sylvie Morata, responsable et chargée de développement de la Cinémathèque municipale Prosper Gnidzaz. À Office de Tourisme et des Loisirs de Martigues, gratuit, sur inscription au 04 42 42 31 14.
- Les visites de la cinémathèque Gnidzaz : mercredi 30 juillet et mercredi 6 août de 10h à 12h. Gratuit, sur inscription.

Beau-Bec, un jeune toucan, sort pour la première fois de son nid tropical… quel enchantement de découvrir les arbres et la forêt ! Mais que c’est difficile de vivre parmi les autres oiseaux quand on vient de tomber du nid… Et si pour trouver sa place, il devenait roi ? Allons voir le Pic-Vert, évitons les perroquets, et mettons-nous en route pour jucher une couronne sur la tête de l’oiseau au grand bec.

Mais finalement, est-ce que Beau-Bec ne chercherait pas tout simplement à s’aimer comme il est ?

La forêt tropicale est un vrai théâtre. Très coloré c’est vrai, mais aussi très animé ! Venez découvrir l’aventure du jeune Beau-Bec, dans son parcours pour être… soi !

Dans un décor de bois, de verdure et de plumes, laissez-vous rêver et entrez dans ce conte où les oiseaux volent, rêvent, et apprennent à grandir.

Un spectacle interprété par Cécile Peyrot. Adaptation et mise en scène Audrey Descarrega. D’après un conte original de Cécile Peyrot.

Compagnie Divadlo

Les réservations pour les crèches, centres et groupes se font par téléphone ou par mail uniquement

Toute l’année nous vous faisons visiter le moulin et la distillerie et vous expliquons les secrets de fabrications.
Nous vous conseillerons avec plaisir et attention : partager est l’aboutissement de nos métiers.
Soyez les bienvenus !

Inspirée du popping, sa danse faite de micropulsions est à l’image de notre planète, en tension.

Sur scène, trois interprètes se révèlent être des virtuoses de cette danse urbaine, à la croisée du funk et du hip-hop. À coup de mouvements saccadés et de contractions musculaires rapides, toutes et tous fragmentent chacun de leurs gestes avec précision. Leurs corps jouent sur la dynamique, sur le rythme, traduisant ainsi la cadence épuisante des logiques marchandes.

Conception et chorégraphie Frank Micheletti
Production Kubilai Khan Investigations
Danse Aline Lopes, Antuf Hassani et Amélie Olivier
Musique mixée en live par Yaguara.

Des visites thématiques sont proposées à un public adulte tout au long de l’année aux Archives, en lien avec la programmation culturelle de la Ville.

Dans le cadre de la Semaine provençale.

Ouverture des inscriptions 15 jours avant la date de la visite.

Réservations par mail à : archives.municipales@mairie-avignon.com
Indiquer les nom, prénom et téléphone de chaque participant.

Gratuit.

Après s’être aventuré Ô Dedans, le deuxième volet de cette trilogie de spectacle nous invite à aller Ô Delà : se détacher et observer la vie de loin pour faire la paix avec elle.

Samedi 26 avril à 11h, le musée vous accueille pour fêter l’ouverture de cette exposition en présence du photographe Franck Pourcel, qui proposera une visite guidée de son travail. L’exposition combine ses photographies avec des objets, des vidéos et une ambiance sonore pour explorer la présence du loup en Provence.

Mougins accueillera des artistes de premier plan qui ont à cœur de proposer des programmes originaux, habilement construits autour des possibilités musicales de notre orgue récemment restauré.

Au programme :
Dimanche 21 septembre - 18h
Le Trio Per Vari Kervarec
Le Trio Pêr-Vari Kervarec est bien plus qu’un ensemble musical : il est le porteur d’une mémoire vivante, une passerelle entre l’histoire et le présent, entre les pierres séculaires des églises et cathédrales de France et les âmes de ceux qui viennent écouter.
Ce trio atypique mêle bombarde, chant, biniou et orgue, façonnant un dialogue unique entre la tradition bretonne et l’acoustique des lieux sacrés. Chaque concert devient une expérience immersive où la musique résonne avec l’architecture, amplifiant l’émotion et le lien entre les générations.

Dimanche 28 septembre - 18h
Récital d’orgue de Virgile Monin
Né en Bretagne en 1987, Virgile Monin a effectué ses études au conservatoire de Nantes, notamment dans la classe d'orgue de Michel Bourcier. Lauréat du concours international d'orgue de Toulouse, il a remporté le premier prix des concours de Biarritz et de Luxembourg, ainsi que le Grand Prix d'Orgue Jean-Louis Florentz, décerné par l'Académie des Beaux-Arts, Institut de France. Musicien engagé dans la promotion de l'orgue et de sa musique, Virgile Monin se produit régulièrement en récital, en France et à l'étranger. Son répertoire varié tend à privilégier l'orgue symphonique, pour lequel il réalise de nombreuses transcriptions

Dimanche 5 octobre - 18h
ATÒM : Loriane Llorca, orgue / Valentin Laborde, vièle électrique
ATÒM explore dans une approche expérimentale les timbres sonores. Orgue portatif médiéval, Grand Orgue et Vielle à Roue électrique sont déviés de leurs utilisations habituelles, pour produire un environnement musical qui se préoccupe des textures. Entre pesanteur et apesanteur, vision aérienne ou rocailleuse et autres clairs obscurs qui empruntent des inspirations proches des musiques Ambient et bruitistes.Ces improvisations sont aussi l’occasion de prendre en compte les masses sonores occupées dans un espace. Les sons peuvent à la fois parvenir de manière frontale à l’auditeur, autant qu’éclatée de part et d’autre où orgue et vielle à roue englobent l’auditeur dans une expérience immersive.

Dimanche 12 octobre - 18h
BACH EN SUÉDOIS : Gunnar Idenstam, orgue / lisa Rydberg violon
”Bach en Suédois”, où comment la musique de Bach et la musique folklorique suédoise peuvent se rejoindre dans un duo de choc, orgue et violon.
Gunnar Idenstam, organiste de concert, compositeur et musicien folk, est connu dans le monde entier pour sa virtuosité, ses improvisations magnifi ques et son ouverture originale et non conventionnelle du répertoire lié à l’orgue. Il souhaite ouvrir l’orgue au public le plus large et dépasser les limites d’utilisation de l’instrument.
Lisa Rydberg a commencé le violon à l’âge de cinq ans et dès ses débuts elle s’est consacrée à la musique folk et classique. Ses études au Collège Royal de musique de Stockholm ont mis en lumière son désir de dépasser les frontières des diff érents genres musicaux. Après avoir étudié pendant une année la musique classique elle s’est progressivement orientée vers un cursus personnel. Elle est ainsi devenue la première étudiante en Suède à étudier la combinaison folk et musique classique. Elle a obtenu son diplôme de violoniste baroque.

Si chacun d’entre nous connaît l’expression « Black is beautiful », peu de gens savent qui l’a popularisée. C’est à un photographe africain-américain que l’on doit, plus qu’un slogan, une esthétique propre à la communauté. Originaire de Brooklyn, Kwame Brathwaite (1938-2003) fonde, dans les années 1960, un mouvement dont l’ambition est de rendre compte d’une culture originale qui s’émancipe de la culture dominante. En créant l’African Jazz Arts Society and Studios (AJASS) et les Grandassa models, Brathwaite inaugure avec le médium photographique un mode de représentation libre du corps noir. On ne se défrise plus, la couleur de peau est célébrée. S’inspirant du jazz, du funk et du blues, il met en place événements – défilés de mode – qui revendiquent à la fois l’héritage du continent africain et les aspirations de la minorité africaine-américaine, et devient le photographe attitré de Stevie Wonder ou encore du groupe The Stylistics. L’exposition est la première rétrospective du photographe organisée en Europe.

En famille ou entre amis, découvrez la ville de Paul Cezanne sans aucun effort grâce à nos vélos électriques homologués.

Après une formation sur le fonctionnement des vélos, nous partons à la découverte de la ville. Nous découvrons la partie médiévale, le quartier Mazarin et la partie contemporaine. Nous ferons une pause dégustation de la spécialité de la ville : le calisson.

? Langue : français / anglais
? Distance parcourue : 10 km
? Durée : 2h30 environ

? Enfants à partir de 1 mètre 50 / Accessible uniquement aux personnes pesant entre 30 kg et 120 kg. Contre indiqué aux personnes ayant des problèmes cardiaques.

Réservations auprès des conseillers en séjour de l'Office de Tourisme d'Aix-en-Provence ou sur le site de l'Office de Tourisme d'Aix-en-Provence.

L'esthétique a été le principal critère de choix de ces 20 clichés, en veillant à avoir un équilibre aussi bien dans les couleurs que dans les types de milieux naturels représentés. Les photographies ont été réalisées par des agents du Parc national des Ecrins.

Comme surgit du flanc de la colline au sud du village, se dresse dans le roc le fort militaire qui servit à repousser les Italiens en juin 1940.
Suspendu sur un piton rocheux à la frontière franco-italienne, Sainte-Agnès a toujours été un poste de défense très convoité. Au XVIe siècle, à la frontière des domaines du comte de Provence et de Gênes, la maison de Savoie construisit à Sainte-Agnès une première fortification.
Tout le long de la frontière, plusieurs forts formaient la célèbre ligne Maginot, du nom du Ministre de la Guerre qui fit voter les premiers crédits de construction. Dernier rempart de la ligne Maginot, le fort de Sainte-Agnès en constituait l’ultime bastion sud : il permettait de cadenasser le passage du littoral.
La construction de l’ouvrage sur cet éperon rocheux surplombant la baie de Menton dura six ans, de 1932 à 1938. Ironie de l’histoire, le fort fut construit par une entreprise italienne, Spada, qui existe toujours…
Le Fort est une ville souterraine creusée sous le village dans les profondeurs de la roche. L’édifice équivaut à un immeuble de quatre étages encastré dans la colline. Il s’enfouit sous plus de 55 mètres de roches dans une configuration de sous-marin. D’ailleurs, on utilisait la terminologie de la Marine au Fort de Sainte-Agnès : on parlait d’équipage et non de garnison, de coursive plutôt que de couloir.
On compte 2000 m2 de galeries et de salles souterraines avec des équipements ultra-modernes pour l’époque. Si le village de Sainte-Agnès n’a eu l’eau courante et le tout à l’égout qu’en 1960, le fort bénéficiait de ces commodités dès 1938. De plus, une centrale électrique alimentait l’ouvrage en électricité, il y avait le chauffage central, le téléphone, de l’air régulé et une salle de neutralisation contre les gaz de combat. Ce casernement était très agréable pour les soldats qui étaient loin de connaître le même confort dans leurs foyers. Le Fort pouvait héberger 350 hommes de troupe qui pouvaient y vivre en complète autarcie pendant 3 mois.

Sarah Delouard, professeur d’Ashtanga et Vinyasa Yoga diplômée de Ashtanga Mysore School & étudiante chez KPJAYI SYC à Mysore, Inde.

Séance d’Ashtanga Yoga, 1ere série dirigée selon l’enseignement de Shri K Pattabhi Jois.

L’Ashtanga est le yoga traditionnel dynamique d’Inde qui suit une série de postures codifiée, synchronisant le souffle et le mouvement.

La séance comprend 1h ou 1h15 de pratique et 1/4h de relaxation guidée.

Âge minimum : 18 ans
Équipement minimum obligatoire : une tenue confortable
Matériel : Tapis fournis sur demande

1h de pratique & 1/4h de relaxation guidée

Destiné à des personnes en bonne condition physique et plutôt sportives. Débutant(s) accepté(s)

-Arrivez 05-10 minutes avant le début du cours

-Nous prêtons le matériel sur demande

-Portez des vêtements confortables et souples

-Pratiquez à jeun (environ 2-3h après un repas, 1h après une collation)

-Soyez hydratés, mais ne buvez pas pendant la pratique

-Essayez de prévoir l'engagement ou le paiement en virement instantané

Elle retrace le contexte artistique et culturel aixois de la fin du XIXe et du début du XXe siècle, auquel le peintre a dû se confronter durant son vivant. Cette exposition passionnante présente un grand nombre d’artistes impactés par Cezanne, avec comme grands noms : Joseph Ravaisou, ou encore Édouard Ducros ainsi que Marcel Provence qui a racheté l’Atelier de Cezanne.
Peintures, photographies, documents d’archive et objets patrimoniaux vous aident à comprendre la réception de l’artiste dans sa ville natale, de son rejet jusqu’à sa glorification.

Longtemps associée à l’architecture de son centre historique et sa lumière, la ville d’Aix-en-Provence est aujourd’hui intrinsèquement liée à la figure du peintre Paul Cezanne (1839-1906). C’est pourtant une relation qui n’est pas toujours allée de soi. Dans la société aixoise, la réception de ses œuvres est contrastée : il a quelques émules mais beaucoup de détracteurs. Cezanne s’est formé à Paris, a participé à la révolution impressionniste dans les années 1870, avant de se consacrer à une démarche picturale très personnelle, des années 1880 à 1906. Il scrute son environnement, et en particulier les paysages de la campagne aixoise,
pour comprendre comment ce qu’il observe peut se traduire en peinture. Cela le conduit à développer une technique picturale qui lui est singulière (aplats de couleur, cernes, suppression de la perspective géométrique...) et qui demeure largement incomprise dans les cercles artistiques aixois, encore très académiques. Une véritable cabale est menée par l’élite aixoise contre Cezanne, à commencer par la figure d’Henri Dobler. Ce collectionneur, artiste, journaliste... parlait du peintre comme de « la plus grande escroquerie du siècle ». Cette opposition virulente envers Cezanne et sa peinture se révèle efficace : alors que le peintre est aujourd’hui célébré partout dans la ville d’Aix, aucune de ses œuvres n’y a été acquise, seules quelques unes y sont visibles.

Musée d’histoire de ville, le musée du Vieil Aix s’attachera à interroger le rapport de la cité d’Aix- en-Provence à cet artiste. L’exposition présentera le contexte artistique et culturel aixois de la fin du XIXe et du début du XXe siècle, auxquels se confronte Cezanne lorsqu’il travaille à Aix : les salons, les cercles de sociabilité, les attentes qui conditionnent la création picturale, l’opposition qu’il rencontre, jusqu’à sa réhabilitation. Marcel Provence, grande figure de l’histoire locale, rachète en effet l’atelier
de l’artiste, l’atelier des Lauves, en 1921. Ce fervent folkloriste, militant régionaliste, œuvre assidûment à promouvoir la connaissance de l’artiste en créant la Société Paul Cezanne et en travaillant à préserver et enrichir les archives à son sujet. Seront présentés dans le parcours d’exposition des artistes tenants de l’Académisme, les anti-cézaniens, ainsi que ses contemporains adeptes du plein-airisme comme Joseph Ravaisou ou Edouard Ducros. Peintures, photographie, documents d’archives et objets patrimoniaux permettront de comprendre la révolution que connaît la réception de l’artiste dans sa ville natale, du rejet jusqu’à la glorification de l’artiste fétiche.


Visites commentées sur réservation (avec médiateur musée) jusqu'au 15 septembre, le mardi et le samedi à 11h.

Eivør est une véritable icône de la scène nordique.

Elle envoûte par sa voix puissante et son univers profondément enraciné dans les traditions des îles Féroé. Inspirée par la beauté brute de son archipel natal, elle mêle chants folkloriques, sonorités électro et énergie métal, sculptant une identité musicale unique. Avec 11 albums à son actif et des compositions pour The Last Kingdom et God of War, elle repousse sans cesse les frontières artistiques. Lauréate du Nordic Council Music Prize en 2021, Eivør revient en force avec ENN, un album audacieux, façonné entre influences classiques et rythmes modernes !





Ásgier, figure incontournable de la scène folk-pop islandaise, séduit par sa voix délicate et ses mélodies envoûtantes. Révélé par son album "Dy?rð i? dauðaþo?gn", le plus vendu de l’histoire de l’Islande, il conquiert ensuite le public international avec “In the Silence”. Entre concerts intimistes et collaborations prestigieuses, comme avec l’Orchestre symphonique islandais, il cultive une profonde connexion avec son public. Avec quatre albums à son actif, il s‘apprête à dévoiler un nouveau projet, mêlant sincérité, mélodie et influences allant de Leonard Cohen à Adrianne Lenker.





Originaire des îles Féroé, Elinborg est une artiste à l’univers envoûtant, mêlant dark electro pop et paysages sonores nordiques. Lauréate du prix du meilleur groupe aux Faroese Music Awards en 2016, elle s’est fait remarquer avec son single Brimið en 2018, repris dans la série Netflix "Ragnarok". En 2022, son EP VERA dévoilait cinq titres en féroïen, plongeant l’auditeur dans un univers sombre et immersif.

De la prison au théâtre, de la délinquance à la résilience, Redwane Rajel raconte sa vie, l’ancienne et la nouvelle, dans un seul en scène carcéral signé Enzo Verdet. Percutant.
Il a laissé les barreaux pour les planches. Redwane Rajel l’affirme : le théâtre l’a sauvé.



Depuis, il en porte le vibrant témoignage dans un seul en scène en forme de justice restaurative. Car telle est la vie de Redwane, avec ses bras de bad boy. Passé par la case prison et ses hauts salvateurs, des cours de théâtre au centre pénitentiaire du Pontet, à l’Antigone d’Olivier Py et au Marius de Joël Pommerat.



Subtilement mise en scène par Enzo Verdet, l’histoire est rude et belle, racontée par son héraut, un pied dedans, un pied dehors. Quand les portes s’ouvrent et les mains se tendent, il y a des lendemains qui chantent.



Texte Bertrand Kaczmarek, Redwane Rajel, Enzo Verdet
Avec Redwane Rajel d'après sa vie
Mise en scène et scénographie Enzo Verdet
Collaboration artistique Hélène July
Lumières Arnaud Barré
Construction décor Wolfgang Affolter, Guillaume Ledieu, Emmanuelle Venier
Remerciements à Joël Pommerat

Avec : Thomas Marty.
Production : Jean Philippe Bouchard Productions.

Au cœur de ses festivités, il célèbre la gastronomie dans toute sa splendeur, mettant en lumière les artisans culinaires, hommes et femmes passionnés qui donnent vie à chaque plat.
C'est un hymne au partage, à la convivialité, où chaque instant devient une ode à la découverte et à la gourmandise.

Jeudi 2 octobre
Soirée de vernissage à La Maison Close, transformée en oasis de verdure. Une fois ce décor planté, il sera à découvrir chaque jour du
festival.

Vendredi 3 octobre
Grande fête populaire « b u v a n te e t mangeante », du milieu de l’après-midi jusqu’au bout de la nuit, à grands renforts de produits
méditerranéens. À la faveur d’automnes de plus en plus plaisants, le festival été indien(s) continue de célébrer l’arrière saison autour de tables bien dressées, de repas animés, et de plats saupoudrés de raffinement et de talent. Un véritable festival post-estival du bien vivre.
Nouveau cette année : deux nuits enchantées seront à gagner dans la chapelle de la Madeleine décorée par un designer.

Samedi 4 octobre
Un déjeuner dans le noir servi par des ombres blanches se profile… À la Chapelle de la Madeleine, l’artiste Louis Rollinde aura exposé pendant un
mois, et il en profitera pour éclairer ce moment inédit, à la lueur de lumières projetées sur des peintures (voir aussi p. 66).

Dimanche 5 octobre
Déjeuner final aux accents phocéens à La Maison Close où c’est un chef marseillais qui régalera.

Un spectacle drôle et poétique où un comédien seul en scène interprète une galerie de personnages hauts en couleur. Une histoire où chacun trouvera un écho à sa propre différence.
Héros malgré lui, Colin est le personnage principal de l’histoire.
Son parcours personnel fait de lui un être cabossé et en recherche d’identité à qui l’on impose de faire du théâtre. Malgré sa réticence, et guidé par son professeur, c’est pourtant là qu’il va trouver un moyen de s’en sortir. Le personnage de Cyrano lui apparaît comme une révélation car Colin se découvre des similitudes avec lui. Leur handicap (son nez pour Cyrano, son bégaiement pour Colin) est le socle commun de leurs difficultés : la peur du regard des autres, l’impossibilité de dire leur amour à celle qu’ils aiment, la solitude… Le fait d’entrer dans la peau de Cyrano permettra à Colin de s’accepter et se libérer de lui-même.

Charlie c'était l'idée parfaite pour ne perdre ni sa femme, ni sa situation, ni son appartement, ni sa maîtresse. Jusqu'au jour où Catherine, sa femme, exaspérée peut-être, suspicieuse sans doute, demanda à le rencontrer... Pour sauver son mariage Daniel va donc devoir inviter à dîner un inconnu qui l'espace d'une soirée jouera le rôle de son meilleur ami. Inventer ce Charlie était-ce une si bonne idée finalement ?

Construite en 1520, réhaussée d’un étage en 1560 puis en 1856, la Tour Carrée fut utilisée comme demeure seigneuriale, tour canon destinée à protéger le Golfe, grenier à grains, prison (comme en témoigne l’étroit cachot ouvert dans ses murs), école et Mairie (de la Révolution à 1935), musée …

Classée monument historique par arrêté du 29 août 1977, elle accueille depuis 2018 l’Association de Maintenance des Traditions Locales. Désormais Maison des Traditions, c’est ce bâtiment chargé de 5 siècles d’histoire locale que la Ville de Sainte-Maxime vous propose de découvrir ou redécouvrir à travers des visites guidées. Des romains à l’époque contemporaine, Histoire, histoires et patrimoine de Provence sont à l’honneur de cette découverte inédite de Sainte-Maxime.

..que sa reconstruction par le célèbre architecte Fernand Pouillon dans les années 1950. Et sa fameuse légende du rocher des "Deux Frères".

Pendant trois jours, au sein de l’AzurArena, les meilleurs trampolinistes et les tumbleurs les plus talentueux vont se donner rendez-vous pour disputer la première Coupe du Monde en France depuis 2015.
Dans l’une des villes phares des disciplines acrobatiques, c’est une occasion unique d’admirer celles et ceux qui vont se disputer le titre suprême quelques semaines plus tard, en Espagne, lors des Championnats du monde. Cette compétition se déroulera dans une salle devenue iconique.
Lieu d’accueil de l’Antibes International Trampoline Cup en 2023, l’AzurArena a tout d’un cadre idyllique pour voir les équipes de France briller.


Le programme

Vendredi 3 octobre
10h30 - 12h30, Qualification Gymnastique Acrobatique
13h - 18h30, Qualification Trampoline individuel hommes et femmes
15h30 - 17h30, Qualification Tumbling femmes
18h30 - 20h30, Qualification Gymnastique Acrobatique

Samedi 4 octobre
10h30 - 12h, Demi-finales Trampoline individuel hommes et femmes
12h - 14h30, Qualification Gymnastique Acrobatique
15h - 17h, Qualification Trampoline synchronisé hommes et Qualification Tumbling hommes
17h30 - 18h30, Finales Gymnastique Acrobatique
19h00 - 19h30, Finale Tumbling femmes
19h30 - 20h, Finale Trampoline individuel femmes et Finale Trampoline synchronisé hommes

Dimanche 5 octobre
10h - 12h30, Qualification Gymnastique acrobatique
12h30 - 14h30, Qualification Trampoline synchronisé femmes
14h30 - 16h, Finales Gymnastique acrobatique
16h30 - 17h, Finale Tumbling hommes
17h - 17h30, Finale Trampoline synchronisé femmes
17h30 - 18h, Finale Trampoline individuel hommes