Agenda

Dans la jolie salle d'exposition située au cœur du village, Pascale Picot expose son travail d'artiste plasticienne.
Depuis son enfance, Pascale Picot aime peindre et créer dans différents domaines.
Après des études d’art au sein de l’ESAM (Ecole Supérieure d’Art Moderne), Pascale Picot aime travailler le noir et le blanc fluide ou matiéré, le reflet noir ou blanc, noir ou blanc lumière. Elle travaille également les lignes, la géométrie dans l’art abstrait mais se rapproche parfois du figuratif.

Le spectacle propose de s’interroger sur la théorie de l’évolution énoncée par Charles Darwin en 1851 et sur le principe de compensation, introduit en 1976 dans la loi française et qui permet aux entreprises de compenser les dégâts infligés à la nature au travers de leurs activités.

Cinq comédiennes s’amusent à raconter l’histoire de Molière dans un spectacle décapant. Tour à tour, elles s’emparent de la narration, tissant des liens entre la vie de Molière et de sa troupe et leurs propres vies. Accrochez-vous, le quintet féminin prend quelques libertés avec le récit qui alterne les anecdotes rocambolesques, les digressions déjantées et les anachronismes. Sur une scène composée de quelques planches démontables, elles célèbrent joyeusement le théâtre de tréteaux. Un regard plein d’humour et de liberté sur le parcours du célèbre dramaturge et la vie d’artiste.

A l’heure où les réseaux sociaux nous abreuvent en continu d’images, quelle attention accordons-nous encore réellement aux images ? Est-il encore possible d’échapper à ce flux d’images ?
La société de consommation repose sur le marketing, formidable prestidigitateur, qui joue avec les stimulations visuelles en sélectionnant avec minutie les images qui retiendront notre attention. A ce vertige optique s’ajoutent les images époustouflantes qui peuvent être générées par l’intelligence artificielle faisant voler en éclat la frontière entre réel et fictif.
Si nous sommes devenus des consommateurs d’images plus ou moins conscients et consentants, force est de constater que les technologies numériques ont décuplé notre capacité à produire des photographies immortalisant chacun des instants de notre vie, des plus futiles aux plus marquants. A ces images qui capturent sur le vif le moment présent s’ajoutent les images « retravaillées » qu’on peut retoucher à l’infini, tel un peintre devant une toile démultipliée.
Comme l’a théorisé Regis Debray, nous sommes désormais dans l’ère de la vidéosphère qui consacre le triomphe de l’immédiateté de l’image. Pourtant, depuis Platon, nous savons combien les images ont un pouvoir trompeur : sommes-nous condamnés à errer au milieu des ombres projetées dans la caverne allégorique que représentent notamment les réseaux sociaux ? Quelles images voulons-nous conserver ? Et quelles images seront fatalement manquantes ?

Isabelle Gras
Conservatrice de bibliothèque au SCD d'Aix-Marseille Université Chargée d'enseignement à la Faculté de droit et de science politique d'AMU et à l'IEP d'Aix-en-Provence

Transposant les données rythmiques du corps en variations infinies de géométries botaniques, Unfold submerge les spectateurs dans une expérience audiovisuelle dynamique, unissant le design biologique, écologique et numérique. Les spectateurs sont guidés vers un état d’alignement sensoriel, invitant à de profondes réflexions sur
la danse symbiotique entre le monde naturel et la forme humaine.
Conçu uniquement pour SCAD Lacoste par le collectif néerlandais DRIFT, Unfold incarne leur philosophie artistique qui consiste à se renouer aux phénomènes de la vie et à explorer le potentiel des futurs possibles à travers des médiums expérientiels.

Après l'atelier venez assistez au concert du mercredi 18 juin à 20H à la Salle des fêtes de Serres

Depuis un peu plus de vingt ans, Bianca et Sierra Casady font partie de l'avant-garde musicale de la pop expérimentale, influençant d'innombrables musiciens tout en inspirant et en créant un refuge pour les « criminal queers » du monde.

Après avoir fêté leur 20 ans d’existence, Cocorosie vient de sortir un nouveau single ‘Least I Have You’ et d’annoncer sa signature sur le label Joyful Noise Recordings.

C’est la nature même de Cannes que d’être sous le feu des projecteurs. Que ce soit ceux du cinéma ou de la publicité.

Autre rendez-vous professionnel de grande ampleur, le Cannes Lions ou le Festival international de la créativité, réunit chaque année en juin les publicitaires du monde entier

Le Cannes Lions International Festival of Creativity n’a d’ailleurs plus à prouver son intérêt et sa renommée puisqu’il rassemble chaque année depuis 1954 des milliers de courts-métrages, annonces, affiches et autres produits dans le secteur de la communication créative.

Le Cannes Lions International Festival of Creativity est un lieu d’échanges entre les entrepreneurs, dirigeants, créatifs, et entre les professionnels et les leaders d’opinion des diverses industries de la publicité. L’occasion pour David Lisnard, maire de Cannes ainsi que pour les organisateurs du Cannes Lions, de proposer aux Cannois, visiteurs et festivaliers, plusieurs animations et événements culturels et sportifs mais aussi de leur faire découvrir ce salon.

Fiuminale est un duo formé par Maxime Merlandi et Jean Philippe Guissani. Après 20 ans passés au sein de l’ensemble polyphonique corse Barbara Furtuna et des centaines de concerts donnés à travers le monde, les deux artistes se retrouvent pour partager les chants qui ont jalonné leur parcours. Chants traditionnels, sacrés et créations, ils nous racontent en musique une amitié de plus de 40 ans. C’est au pied du Capicorsu, dans le Nebbiu où ils ont grandi qu’ils continuent à puiser leur inspiration, nous racontant la Corse, loin des clichés et des lieux communs. À travers un répertoire choisi, ils égrènent avec passion les sentiments que procure une vie de musique et de rencontres.

Depuis 2010, Alain Maupuy est installé dans le Languedoc, près de Montpellier, et s’adonne complètement à la peinture.
Sa technique est la peinture à l’huile sur toile et sur papier.
Le style oscille entre un figuratif suggestif et une abstraction émotionnelle, les couleurs sont fortes et harmonieuses et le jeu des nuances et des formes interpelle notre imagination. Alain Maupuy séduit par une recherche constante du beau et de l’esthétique.
Certaines de ses toiles ont été exposées dans de nombreuses capitales européennes et figurent dans le catalogue des tapisseries d’Aubusson.

A découvrir !

Depuis près d'un siècle et le catalogue raisonné de Florence Ingersoll-Smouse (1926), aucune étude importante n'avait été consacrée au peintre Joseph Vernet (1714-1789), auteur de la célèbre série des Ports de France. Le présent ouvrage propose l'édition critique du livre de raison du peintre (sorte d'agenda familial et professionnel doublé d'un livre de comptes et de commandes) et une analyse vivante et détaillée de sa vie et de sa carrière. Il apporte aussi un éclairage sur la société du XVIIIe siècle dans ses aspects les plus variés, de la mode vestimentaire à la médecine en passant par les loisirs les loisirs comme la musique ou encore la magie.



Emilie Beck Saiello est maître de conférences à l'université Sorbonne Paris Nord, habilitée à diriger des recherches. Spécialiste de la peinture de paysage et des relations culturelles entre l'Italie et la France au XVIIIe siècle, elle a publié entre autres, avec Jean-Noël Bret, Le Grand Tour et l'Académie de France à Rome (2018). Depuis 2013, elle enseigne l'histoire de l'art moderne occidental à l'université. En 2018 elle a été en délégation au Centre Norbert Elias à Marseille pour deux ans.



NB. Exceptionnellement l'ouvrage, en trois tomes, ne sera pas en vente lors de la conférence mais vous pourrez en faire la commande à la librairie L'Attrape Mots, coordonnées ci-dessous.




Présentation Jean-Noël Bret
Proposition A.C.C association pour l'histoire de l'art et l'esthétique acc.marseille@free.fr
et Librairie L'Attrape Mots, 212 rue Paradis 13006 Marseille lattrapemots212@gmail.com

Bernard Reynier, Véronique Bonnardel et Sylvie Flour,
Passionnés de voyages, Brésil, Chine, Inde, Irlande, Italie et de grands espaces sauvages, ce trio familial n'a cessé de parcourir, carnets de croquis en poche, les sentiers des lacs de montagne, les torrents et les forêts de la Vallée de l'Ubaye si chère à leurs cœurs, jusqu'aux falaises et abysses de la Méditerranée. Face à leurs peintures, dessins et gravures, situés entre la figuration et l'abstraction, le visiteur découvre ici la mouvance de la mer et ses créatures, là une muraille minérale aux tons ocres, puis un pin accroché à la roche. Le tout dans un bel écrin marin qu'est le port de La Ciotat.

Bernard Reynier
Artiste plasticien

Le paysage (de la montagne à la mer) est un lieu de méditation qui nous incite à trouver notre place dans l’univers.
Je veux citer ici l’artiste -pédagogue : « Le dialogue avec la nature reste condition sine qua non, l’artiste est homme, il est lui-même nature, morceau de nature dans l’aire de la nature. »
« Tout devenir repose sur le mouvement. » Paul Klee 1925.
Je dessine et peint uniquement de mémoire. Pour cette raison je me sens proche des paysagistes orientaux. Toutes les techniques picturales sont au service de l’énergie qui circule entre « les images » et abolit le temps.

Véronique Bonnardel
Artiste dessinatrice, graveur et peintre

« …De là naissent les métamorphoses graphiques : je vois en gravure une tempête minérale, les pins déployant leurs bouquets d’aiguilles dans un flot de lumière. Il n’y a pas de paysage sans regard. J’aime me placer, me déplacer pour trouver mon point de vue, survolant en plongée le territoire sillonné ou bien à l’affût sous les arbres. Ce terrain d’observation est source d’écritures, de signes, de traces… »
« …Je me concentre, puis, sans dessin préparatoire, j’attaque directement le métal avec la pointe sèche. La planche doit avoir déjà vécu…Il me faut des griffures, une marque du temps pour démarrer. Je sillonne de ma pointe d’acier cette surface encore vide…La pointe raye à peine le cuivre, ma main joue avec sa pression pour trouver la justesse d’une faille, la courbe d’un pin, l’équilibre des transparences et des veloutés… »
V. Bonnardel - Extraits de l’article n°177 des Nouvelles de l’Estampe
2001 - Propos de graveurs - Revue du comité national de la gravure française.

Sylvie Flour
Artiste peintre

Il faut chercher dans mon histoire pour comprendre mes inspirations une enfance entre mer et montagne où la nature ne cesse d’être une source d’émerveillement et de bienêtre…le respect très jeune de cet environnement unique et précieux à travers la randonnée et la plongée libre…des voyages et des longs séjours dans des contrées lointaines où chaque lieu naturel me nourrit de toutes ses beautés…puis le constat alarmant d’une terre fragilisée et mise à mal chaque jour par l’homme ... ainsi naît le besoin de sensibiliser à travers mon travail artistique sur une urgente protection de notre planète.
« C’est une triste chose de songer que la nature parle et que le genre humain n’écoute pas. » Victor Hugo
« Cultivez votre amour de la nature, car c’est la seule façon de mieux comprendre l’Art. » Vincent van Gogh

Après 20 ans passés au sein de l’ensemble polyphonique corse Barbara Furtuna et des centaines de concerts donnés à travers le monde, les deux artistes se retrouvent pour partager les chants qui ont jalonné leur parcours. Chants traditionnels, sacrés et créations, ils nous racontent en musique une amitié de plus de 40 ans sans jamais tomber dans la nostalgie. C’est au pied du Capicorsu, dans le Nebbiu où ils ont grandi qu’ils continuent à puiser leur inspiration, nous racontant la Corse, loin des clichés et des lieux communs. À travers un répertoire choisi, ils égrènent avec passion les sentiments que procure une vie de musique et de rencontres.

Après un tirage bibliophile à Nice en 2021, distingué en 2022 dans l’anthologie du Printemps des poètes Là où dansent les éphémères, le poème épique Espars de Sébastien Cagnoli paraît aux éditions du Ver à Soie, avec des illustrations originales, et remporte aussitôt le prix Méditerranée poésie 2023. Le récit évoque une traversée de Villefranche à Cagliari sous Victor-Amédée III, dans un style expérimental obéissant à quelques contraintes formelles, notamment un « mètre irrationnel ». Le caractère rythmique et musical du poème a inspiré à Amédée Briggen et Michel Pallanca un spectacle constitué de lectures d’extraits représentatifs, accompagnés par un piano à queue et des pianos jouets. Les musiques choisies avec l’auteur dialoguent avec le texte, à la fois sur le fond et sur la forme.

Les « fake news », la désinformation et la surcharge d'informations sont des défis majeurs auxquels nous sommes confrontés. La capacité à comprendre, analyser et critiquer l’information et les médias est cruciale. Nous vous proposons une réflexion commune autour de cette thématique. avec Laurent Gracia, Journaliste.

Participation libre. Suivi d’un apéro partagé.