Agenda

Sommé de prendre en charge la jeune orpheline, il l'aide à faire le deuil de ses parents, selon un rituel venu du Japon, tandis qu'elle le pousse à révéler et à accepter sa vraie nature en dépassant les traumatismes du passé, en achevant un deuil en suspens et en reprenant ce qui lui a été retiré.

"Avec ÉCLATS, je souhaite célébrer ce qui déborde, ce qui échappe à l’ordre, ce qui vit sans justification. Trois corps s’influencent, se transforment, s’abandonnent à l’élan du groupe et à la liberté d’être traversé par l’imaginaire. C’est une danse d’exaltation où l’on joue à être ensemble, à se suivre, à se perdre. Où le plaisir et l’énergie circulent comme un courant électrique, où l’émotion devient rythme, chair, pulsation. Le plateau devient un espace magnétique, où l’irrationnel et le sensoriel s’entrelacent. Une transe ludique et viscérale qui invite le public à ressentir, à vibrer, à plonger avec nous dans cette folie joyeuse du mouvement et de l’imaginaire."

Gratuit sur réservation.

Quand le cinéma regarde la ville

Festivals de films sur l'architecture, l'espace urbain et l'environnement.
Image de ville valorise la création cinématographique dans toute sa diversité pour contribuer à la diffusion de la culture urbaine, architecturale et écologique.

Image de ville propose de promouvoir un cinéma qui ouvre sur le monde pour animer un espace public de réflexion sur la civilisation urbaine :

- en organisant deux événements festivaliers annuels et des rendez-vous publics réguliers
- en élaborant des programmations cinématographiques spécifiques
- en favorisant l'émergence de projets cinématographiques sur l'architecture et l'espace urbain
- en proposant des sessions d'éducation à l'image et de formation audiovisuelle sur les questions urbaines.

Au programme projections, rencontres, tables rondes.



D’une programmation consacrée au territoire de la métropole d’Aix-Marseille à une rencontre inédite entre le cinéaste Dominique Marchais et les architectes-urbanistes Les Marneurs, en passant par trois conversations avec la philosophe Joëlle Zask, un hommage à David Lynch, l’avant-première de L’Inconnu de la Grande Arche de Stéphane
Demoustier et une carte blanche du festival Cinema Urbana de Brasilia, l’édition 2025 des Rencontres d’Image de ville est une nouvelle invitation à « regarder ensemble » pour réfléchir collectivement à notre civilisation urbaine et à son avenir.
Films du patrimoine et films rares, avant-première et films « en chantier », documentaire et fiction… la programmation de cette édition met en valeur toute la richesse de la création cinématographique, avec une attention particulière portée aux films produits sur le territoire régional. En réunissant plus d’une trentaine invité·e·s de tous horizons, chaque séance est l’occasion d’un échange à l’issue de la projection. Nouveauté de cette édition, Au Gai Savoir urbain devient Les Assemblées urbaines. Initié par le philosophe de l’urbain Thierry
Paquot, ce rendez-vous, proposé désormais avec la contribution de l’architecte, curatrice et critique Océane Ragoucy, est l’occasion, cette année, d’une rencontre avec la philosophe Joëlle Zask et de partager, au fil de trois conversations, sa réflexion sur la ville contemporaine.
Comme chaque année, plusieurs séances sont proposées aux publics jeunes. Une sélection de la programmation est présentée au Studio Image et Mouvement / centre pénitentiaire des Baumettes, à l’invitation de Lieux fictifs.



Temps forts de l’édition 2025 :
• État des lieux (Aix-en-Provence, 9–12 octobre) : récits du territoire métropolitain, de Aix à Marseille, de La Ciotat à Martigues, conçus avec l’historienne du cinéma Katharina Bellan.
• Un cinéaste – un architecte : dialogue (Marseille, 16–19 octobre) : rencontre entre le réalisateur Dominique Marchais et l’agence d’architectes-urbanistes-paysagistes Les Marneurs, autour de l’habitabilité et des ressources à l’heure de la crise écologique.
• Les Assemblées urbaines (Marseille, 17–19 octobre) : trois conversations cinéma-philosophie-urbanisme menées par Joëlle Zask et Océane Ragoucy, à partir de films de Kleber Mendonça Filho, Louis Malle et Ana Vaz.
• Événements cinéma (Aix & Marseille, 12–18 octobre) : hommage à David Lynch, carte blanche au festival Cinema Urbana (Brasilia), avant-première de L’Inconnu de la Grande Arche de Stéphane Demoustier (Cannes 2025).

Un jour, arrive de Venise une lettre de son père, lui annonçant qu’il quitte sa mère pour une autre femme. Il décide d’aller rendre visite à sa génitrice perdue dans les montagnes Siciliennes qu’il n’a pas vue depuis 15 ans. S’engage alors une odyssée intérieure et salvatrice, une enquête à reculons sur la vie de ses parents et de son enfance.

Jeudi 16 octobre, vous avez rendez-vous avec vos artistes cap d'aillois préférés ! Du jazz, comme son nom l'indique, avec Eva Dubois et Sunday Jazz, à la variété internationale d'Acoustic-Song, ne manquez pas cette soirée "made in Cap d'Ail !"

Autrice, compositrice, et interprète, Dinaa s’accompagne elle-même à la guitare. A seulement 20 ans, son écriture est déjà pleinement mature, et sa voix sans pareil.

Forte du succès de son titre "Lisa" et de son 1er EP "Les rêves qui parlent" sorti en mars 2024, Dinaa enchaîne les concerts avec plus d’une cinquantaine de dates, et ce après avoir ouvert pour Angus & Julia Stone, Texas, Sofiane Pamart, Cats On Trees, Big Flo & Oli, Yamê...

Céline Frisch, Pablo Valetti et les musiciens de l'ensemble de Café Zimmermann ont toujours à cœur de penser des programmes qui permettent non seulement de découvrir des pépites de leur répertoire mais aussi de comprendre le contexte de leur création. Cette fois, ils marchent dans les pas de van Swieten et nous font voyager de Bach (père et fils) à Haydn et Mozart sous influence !

Réunissant une centaine d’œuvres, couvrant plus d’une dizaine d’années de création, l’exposition de Katia Bourdarel révèle la richesse d’une pratique hybride, tournée vers la peinture et le dessin mais aussi l’installation, la sculpture et la vidéo. « De fiel, de miel et de sel » met en lumière l’ambivalence qui caractérise l’ensemble du travail de l’artiste, née à Marseille, tendu entre réel et rêve, ombre et lumière.

Non chronologique, l’exposition se déploie sur deux espaces comme un parcours initiatique donnant à sentir la saveur du vivant, son goût doux amer, aussi fragile qu’immortel. Une première traversée lève le voile sur la question de la beauté et de la nudité. Odalisques, Vénus ou nymphes, c’est à l’aune d’une tradition classique réinventée à travers le filtre du présent que la représentation du corps chez Katia Bourdarel se révèle dans ses ambiguïtés. La chair dénudée ou enrobée de tissus, parsemée de bijoux, de feuilles et de fleurs, se donne dans l’harmonie de la douceur, toute en lumière et sensualité, mais aussi pétrifiée, faite d’entraves, de secrets cachés et de monstruosité.

Dans un second souffle, l’exposition plonge dans l’obscurité, où les choses nous apparaissent troubles, entre chien et loup. La nuit comme chambre à soi, où l’intériorité résonne avec les récits collectifs et les profondeurs d’une nuit originelle. Forêts, cabanes, châteaux, eaux dormantes, nymphes et oiseaux nous content les mystères des mythes et d’une nature ancestrale où la terre et le ciel, la vie et le chaos s’entrelacent dans une ronde sans fin.

L’ensemble du parcours donne ainsi à voir les diverses facettes de l’univers de Katia Bourdarel tourné vers une réalité onirique et intemporelle mais aussi réceptif aux bouleversements du monde actuel. Les thèmes de la nature et du corps féminin chez l’artiste, entre glorification et mise à mal,
font aussi résonner une force instinctive et sauvage, aux préoccupations féministes et environnementales.

L’exposition s’accompagne d’un programme de sensibilisation artistique et de médiation culturelle réalisées par les équipes du musée. Les activités combinent des approches immersives de la création artistique ludiques, pratiques et théoriques, ainsi que des moments d’échange, pour créer une relation plus familière et intime avec les œuvres.
Dans le cadre de cette thématique d’exposition, le Musée Regards de Provence programme une série de rencontres avec Katia Bourdarel, de conférences, des ateliers créatifs avec visites guidées adaptées pour la jeune génération et aux scolaires, des ateliers d’aquarelle, ainsi que des cours de yoga au milieu des œuvres. Un récital voix et harpe, interprété par Barbara Bourdarel, soprano, et Gloria Birardi, harpiste, viendra également ponctuer cette programmation, en résonance avec l'univers de l'exposition. Ces évènements dédiés à l’échange, à la transmission et au partage, sont autant de moments riches, sensibles et conviviaux pour écouter les témoignages, se laisser porter par la création et inspirer par les œuvres.

De permettre aussi de générer des rencontres entre professionnels et avec le public et de proposer une découverte d'une culture et d'une cinématographie non pas inconnue mais méconnue.
Situées à Saint-Tropez, elles sont aussi l'occasion de permettre aux Tropéziens et aux Varois d'explorer l'hémisphère nord mais aussi de promouvoir ce beau village dont l'histoire est liée aux arts et à la culture que ce soit par la littérature, la peinture, le cinéma, la musique ...

Pour les Antipodes, une seule direction : Saint-Tropez, cinéma Le Star !

Retrouvons-nous au cinéma Le Star du 16 au 19 octobre 2025 pour découvrir un vaste panorama du cinéma australien et néo-zélandais à travers une sélection éclectique de longs et courts métrages, de documentaires, de rencontres et bien sûr d’une belle exposition de peintures Aborigènes sise cette année au lavoir Vasserot.

Vous retrouverez la sélection Antipodes Juniors qui proposera une quinzaine de courts métrages en compétition à la sagacité de près d’une centaine de lycéens qui en constituent un jury sérieux et conscient de sa responsabilité de choisir le récipiendaire du Prix Nicolas Baudin.

Et parmi les œuvres qui débarqueront à Saint-Tropez vous permettant de voyager jusqu’en Australie, deux films qui se répondent, l’un plus sombre l’autre plus lumineux mais tous les deux tout aussi émouvants : « He ain’t heavy » de David Vincent-Smith qui a reçu en mai le Prix Cannes Ecrans Séniors 2025 et « With or without you » de Kelly Schilling en présence de ses producteurs Su Armstrong et Brian Rosen. Mais aussi la percutante et piquante comédie de Natalie Bailey « Audrey ». L’étonnant, ironique et sensible nouveau film de Saara Lamberg « Coma » qui sera présente ainsi que sa comédienne principale Janet Watson-Kruse. Le beau et grave film de Tori Garrett « Don’t tell » pour lequel nous devrions accueillir le comédien Aden Young. Et côté néo-zélandais, une immersion dans les années cinquante et une institution de redressement pour jeunes filles inadaptées de Josephine Stewart Te-Whui « We were dangerous » ainsi qu’une excursion romantique avec « The people we love » ou les mésaventures d’une jeune romancière dont le retour dans le creusé familial pourrait être une source d’inspiration.

Sans oublier les documentaires et notre coup de cœur « Ellis Park » de Justin Kurzel, voyage en compagnie du comparse de Nick Cave, le musicien Warren Ellis, qui nous fait visiter son monde et le refuge pour animaux sauvés de trafiquants ou d’accidents qu’il a créé à Sumatra. Mais aussi en présence du réalisateur, « This Jungo life » un documentaire unique, intime, humain réalisé avec un iPhone par l’australien David Fedele. Sans oublier la belle avant-première que nous offre L’atelier d’images avec « Future council » où le réalisateur Damon Gameau emmène huit écoliers dans une excursion scolaire inoubliable en forme de road trip à la recherche de solutions à la crise climatique.
Et dimanche après-midi, vous pourrez vous délecter d’un classique en version restaurée : « Vacant Possession » de Margot Nash, l'histoire de deux familles – l'une blanche, l'autre aborigène – vivant toutes deux dans l'ombre du passé.
Bernard Bories AM
Président de Cinéma des Antipodes


Australian and NZ films! Easy, head to Saint-Tropez, cinema Le Star.
Join us at Le Star cinema from October 16 to 19, 2025, to discover a vast panorama of Australian and New Zealand cinema through an eclectic selection of feature and short films, documentaries, meetings, and of course, a beautiful exhibition of Aboriginal paintings, located this year at the Lavoir Vasserot.

You will find the Antipodes Juniors selection, which will offer around fifteen short films in competition with the sagacity of nearly a hundred high school students who make up a serious jury, aware of its responsibility to choose the recipient of the Nicolas Baudin Prize.
And among the works that will land in Saint-Tropez, allowing you to travel to Australia, two films that echo each other, one darker, the other brighter, but both equally moving: He ain't heavy by David Vincent-Smith, which received the 2025 Cannes Ecrans Séniors Award in May, and With or without you by Kelly Schilling in the presence of its producers Su Armstrong and Brian Rosen. But also, the hard-hitting and piquant comedy by Natalie Bailey, Audrey. The astonishing, ironic and sensitive new film by Saara Lamberg, Coma, which will be present, along with its lead actress, Janet Watson-Kruse. The beautiful and serious film by Tori Garrett, Don't tell, for which we should welcome the actor Aden Young. And on the New Zealand side, an immersion in the fifties and a reformatory for misfit girls by Josephine Stewart Te-Whui, We were dangerous, as well as a romantic excursion with The people we love, or the misadventures of a young novelist whose return to the family hollow could be a source of inspiration.

Not to mention the documentaries and our ‘Coup de Coeur’, Ellis Park by Justin Kurzel, a journey in the company of Nick Cave's sidekick, the musician Warren Ellis, who takes us on a tour of his world and the shelter for animals saved from traffickers or accidents that he created in Sumatra. But also, in the presence of the director, This Jungo life, a unique, intimate, and human documentary shot with an iPhone by Australian David Fedele. Not to mention the beautiful preview offered by L'atelier d'images with Future council, where director Damon Gameau takes eight schoolchildren on an unforgettable school excursion in the form of a road trip in search of solutions to the climate crisis. And on Sunday afternoon, you can enjoy a restored classic: Margot Nash's Vacant Possession, the story of two families—one white, the other Aboriginal—both living in the shadow of the past.
Bernard Bories AM
President of Cinéma des Antipodes

Dans le cadre du Prix des Lecteurs du Var, le département vous invite à embarquer pour un voyage littéraire à la rencontre des auteurs et des œuvres en lice.
Cap sur un territoire d’évasion et de découverte à travers un moment d’échange convivial avec l’autrice Sophie de Baere. Une escapade proposée et initiée par la médiathèque départementale du Var sur les traces du roman : Le secret des mères- Éditions JC Lattès. Une belle occasion de partir sur les routes du prix et de déposer votre bulletin dans l’urne…
Dans Le secret des mères, Sophie de Baere signe une saga familiale poignante où les silences façonnent les destins. À travers le parcours d'une fille en quête de vérité, l’auteure nous plonge dans la France rurale de l’après-guerre et donne voix aux combats oubliés des femmes. Après le succès des Ailes collées (Prix Maison de la presse 2022), elle poursuit son exploration de l’intime et nous offre un récit puissant, porté par une écriture délicate et engagée.

Jara, Alex et Miranda sont trois filles qui ont grandi dans un centre de détention pour mineurs sans savoir ce qu'est l'amour inconditionnel. C'est l'anniversaire de Jara, et toutes les trois veulent le fêter au concert de leur chanteuse préférée. Elles ont besoin d'argent, mais n'ont pas beaucoup de possibilités. Mais elle rencontrent une fille plus âgée qui gagne sa vie en organisant des rendez-vous avec des adultes dans les toilettes de la gare et leur offre de l'argent facile.

À bord du Petit train des vignes, traversant cette terre de tradition, notre guide passionné vous dévoile les secrets de la Provence, ses histoires, et son patrimoine viticole.

Premier arrêt : Le domaine de Solignac 100 % biologique, vin et huile d’olive
Le domaine de Solignac à Hyères produit, outre ses vins élégants issus de l'agriculture biologique, une huile d'olive de qualité.

Avec un respect profond du terroir, cette petite structure familiale permet de conduire de manière artisanale la culture des oliviers pour produire une huile d’olive AOP "Huile d'olive de Provence bio".

Tradition et savoir-faire sont conjugués pour offrir des produits authentiques, aux notes subtiles.

Deuxième arrêt : Domaine "Le songe de Don Bosco"
L'histoire du domaine commence en 1878, lorsque Don Bosco, homme de foi et de compassion, s'installe sur ces terres. Dévoué aux jeunes orphelins et aux personnes sans emploi, il crée le premier oratoire pour offrir à ces jeunes des opportunités de formation et leur assurer un avenir prometteur.

Aujourd'hui, le domaine porte l'empreinte de cette philosophie humaniste, centrée sur l'homme, le respect du terroir et le partage des savoirs. L'équipe du domaine, passionnée et accueillante, vous racontera cette histoire à travers une dégustation des vins issus de cette terre.


Informations pratiques et recommandations :
Rendez-vous au Bureau d'Information Tourisme de La Crau,
place Maréchal de Lattre de Tassigny à 9h45 pour un départ à
10h.
Durée : entre 2 et 3h
Au cours de la balade, la dégustation des vins n’est pas proposée aux enfants.
Le vin est à consommer avec modération.
Les programmes sont susceptibles d’être modifiés en fonction
des autorisations préfectorales de circulation.

l’Échappée rose c’est une bulle de douceur qui se déplace partout en France, pour offrir aux personnes touchées par le cancer et à leur entourage un moment hors du temps avec des socio-esthéticiennes. Des conseils maquillages, des massages, des soins mais aussi de l’échange et du partage !

Otto Abetz est depuis bien longtemps un inconnu de nos manuels scolaires alors qu'il est l'instigateur de la "collaboration" et du pillage de la France de 1940 à mai 1942.

Personnage secondaire ? Sûrement pas car il a notamment instauré les premières rafles, la rencontre de Montoire, les activités de propagandes, la LVF etc.

Pendant cette période, son nom, sa photo sont dans chaque première page de nos journaux pour devenir un illustre inconnu aujourd'hui !

Ça vous inspire ? Venez avec votre production (dessin, peinture, collage, photographie...) au format A4 et deux pinces à linge et ajouter votre œuvre sur l'étendage place Biancheri. Déplacée à la Misericorde/ Arcades A Ca d'Breï en cas de pluie.

Ecrit par Delphine Horvilleur, mis en scène et magistralement interprété par Johanna Nizard, « Il n’y a pas de Ajar » s’attaque avec virulence aux identités assignées et ça cogne dur !


« Nous sommes les enfants des livres que nous avons lus et des histoires qu’on nous a racontées, bien plus que de nos identités d’origine » martèle Delphine Horvilleur. Planqué au fond de son « trou juif », Abraham, fils caché d’Émile Ajar (Emile Ajar est le pseudonyme de Romain Gary), en est la preuve agacée et transgressive : celui qu’on dit n’est pas forcément celui qui est. Face aux obsessions identitaires, il vitupère contre ce « nous » qui enferme et rapetisse. Les mots tronçonnent, l’humour décape, portés par la fougue trublionne de Johanna Nizard. On prend des coups comme on prend conscience, chahutés par cet acte de rébellion qui forcément interroge.



Avec Johanna Nizard
Texte Delphine Horvilleur
Mise en scène Johanna Nizard, Arnaud Aldigé
Création sonore Xavier Jacquot
Lumières et scénographie François Menou
Maquillage Cécile Kretschmar
Costumes Marie-Frédérique Fillion
Collaborateur artistique Frédéric Arp
Conseiller dramaturgique Stéphane Habib
Regard extérieur Audrey Bonnet

Moon Belem se nourrit de la rencontre impertinente de divers horizons musicaux au service du groove.

A mi-chemin entre le concert et le Dj set, le projet fait se côtoyer chants trads et samples funky, rythmes trap et couleurs afro et s'entremêler percus samba et chants maloya.

Bref … ce projet nous fait parcourir le monde d'un bout à l'autre dans un savant mélange de sample, de remix et de compositions personnelles.

Ouverture des portes : 19h00
Début du concert : 19h30
Entrée libre, sortie plus compliquée : chapeau!

Résa 06 78 66 52 42 ou FB Mouton Noir

Organisé par Le Mouton Noir

Le Lieutenant de Vaisseau Roger Gignoux était, en 1942, officier canonnier du contre-torpilleur l’Indomptable, et a donc a participé à son sabordage.

Mort pour la France en 1945, il avait réuni en deux ans et demi plus de soixante-dix photographies des bâtiments sabordés, dont beaucoup sont restées inédites, même si le sujet est largement documenté par ailleurs.

Ces pages de son album personnel sont projetées pour la première fois, après une biographie de son auteur, dans une présentation les regroupant bateau par bateau, chacune avec son angle de vue dans l’arsenal.

Venez découvrir en avant-première notre Rosé Primeur 2025, fraîchement embouteillé — un vin gourmand, fruité et plein de soleil !
Ambiance musicale, châtaignes grillées et bonne humeur garanties !
Dégustation offerte et buffet apéritif !