Agenda

Programme :

Lundi 10 novembre
9h-11h30 / 14h-17h -> Exposition
18h -> Inauguration & vernissage (ouverture au public)
Conférence “La mobilisation générale en 1914” par Robert Strozzi

Mardi 11, Mercredi 12 et Jeudi 13 novembre
Exposition ouverte selon les horaires :9h-11h30 / 14h-17h

À découvrir :
Souvenirs, uniformes et pièces de collection de la Première Guerre mondiale et d’autres conflits récents.
Un moment de mémoire et de transmission à ne pas manquer gratuit et ouvert à tous !

> Maison du Combattant Alexandre-Argenti – 25 boulevard de Vauranne, Istres

Un événement co-organisé avec Unacita - Union Nationale des Anciens Combattants d’Indochine des Territoires d’Opérations Extérieurs et d’Afrique du Nord, la ville d’Istres et ses associations patriotiques et d’anciens combattants.

A partir de 11h30 dépôt de gerbe au Monument aux Morts suivi d'un apéritif d'honneur.
Suivi d'une dégustation de spécialités à base de pois-chiches et produits locaux, sous les arcades de la mairie.

Rassemblement à 10h45 place Héros et Martyrs puis défilé jusqu’au mémorial sur la place du Parage, derrière la Mairie.
Début de la cérémonie à 11h précises, avec discours et remises de gerbes suivis d’un vin d’honneur à la Salle des Associations.

09 h 45 Rassemblement place de l’Ormeau
10 h 00 Eglise paroissiale - Messe du souvenir
10 h 45 Rassemblement place de l’Ormeau
10 h 50 Cortège avenue Georges Clémenceau
11 h 00 Mémorial national des Services Spéciaux de la Défense Nationale
Dépôts de gerbes
Sonneries, minute de silence, hymne national
11 h 15 Monument aux Morts
Dépôts de gerbes
Lecture du message du Ministère des Armées
Sonneries, minute de silence, hymne national
11 h 30 Ecole Gérard-Philipe
Allocution de Roland Bruno, maire de Ramatuelle
Apéritif offert par la municipalité

Programme :
11h00 : Messe en l'église Saint-Michel
11h45 : Dépôt de gerbe au Monument aux Morts
12h00 : Apéritif offert à la population à la salle des fêtes

Première exposition à Marseille de l'artiste Frédéric Weigel, cofondateur du "Palais des Paris" au Japon. L'exposition multiforme donnera lieu à des échanges et une performance avec l'artiste questionnant les rapports entre l'occident et le Japon.

De pictura par Leon Battista Alberti, datant de 1435, est le plus ancien traité européen encore lisible portant sur la peinture. L'ouvrage fait référence à des traités plus anciens provenant de l'antiquité mais tous disparus. Pour Alberti, le mythe fondateur de la peinture serait celui de Narcisse regardant son propre reflet dans un étang. Ne serait-ce pas Alberti qui est le plus plus grand Narcisse ? En effet, il se regarde lui-même dans une altérité antique où il y retrouve l'image renaissante de ses propres désirs ?

Ultraman est une série japonaise pour enfants dans laquelle une altérité est convoquée : des habitants des étoiles aux tailles colossales. Incarnés par des acteurs en costume, ils viennent régler leurs comptes dans des villes faites de maquettes. Depuis un regard européen, l'on perçoit une double représentation. La première est une fiction qui présente des figures extraterrestres. La seconde est une œuvre provenant d'une culture supposée autre, avec l'idée qu'il s'y trouverai quelque chose de l'expression d'un peuple éloigné. Un trouble se constitue : entre une fictionalité et une culturalité se produisent des équivalences. Mais pour que cette confusion aliénante advienne, encore faut-il que le regard extérieur présuppose l'existence d'une altérité japonaise en raccord avec le fantasme de l’alien.

Pour ma part, le reflet que je perçois dans la série Ultraman prend la forme d’une régression enfantine. Je fus très tôt marqué par une peinture de Saint Michel terrassant le dragon dans la petite église de mon village natal. Malgré mes efforts, je ne peux m’extraire d'un transfert inconscient qui vient soutenir la fascination que j'éprouve face à ce sur-homme qu'est l'archange Ultraman. L’ambiguïté de la représentation de l'altérité repose sur le fait que cette incarnation renvoie à des mondes imaginaires brouillant inévitablement toute visée initiale. On croit atteindre l'autre et on ne fait que se perdre dans une croyance narcissique qui s'objective dans le labyrinthe des reflets et des jeux d’eau.

Frédéric Weigel

Le 11 novembre 1918, l'Armistice est signé afin de faire cesser immédiatement les terribles combats de la Première Guerre mondiale.
Déroulé de la commémoration :
10h Messe à l'église
11h15 Remise des décorations sur le Parvis de l'Office de tourisme
11h45 Cérémonie au Monument aux Morts

Nous vous attendons nombreux !
Restauration & buvette sur place.

On compte sur vous pour venir nombreux et lancer la saison comme il se doit !

PROGRAMME

9h00 Messe en la Cathédrale de Vence.

10h00 Cérémonies au Monument aux Morts et Stèle des rapatriés, Cimetière du centre-ville.

11h15 Apéritif d’honneur offert dans les Jardins EHPAD La Vençoise, Site Saint Michel

Dépôt de gerbe et recueillement au monument aux morts suivis d'un apéritif offert par la municipalité sur la place Jean Léa.

Chacun, à sa façon, écoute son cœur et part à la découverte du monde. Un programme tendre et inspirant pour les tout-petits, qui célèbre la curiosité, la liberté et l’enfance.

Programme :
L’Aigle et le Roitelet (6') : Le Monde des oiseaux doit élire son souverain. L’aigle royal s’avance, certain d’être le seul digne du trône. Aucun oiseau n’ose le contester… sauf le minuscule roitelet. D’une voix tremblante mais audacieuse, il revendique aussi la couronne. Amusé, l’aigle lui lance un défi : celui qui volera le plus haut deviendra roi.

Moineaux (11') : Dans un temple bouddhiste, de jeunes moines entament leur méditation sous le regard bienveillant du maître. Mais l’un d’eux, captivé par un moineau, se laisse distraire et le suit hors du monastère. Ce simple envol devient le début d’un voyage qui l’emporte bien au-delà du temple, à la découverte du monde. Des années passent et lorsqu’il revient, vieilli et empli de sagesse, il retrouve d’autres moinillons en méditation. L’un d’eux, à son tour, aperçoit un moineau…

La Princesse et le Rossignol (26') : Cerise, six ans, vit protégée par ses parents dans leur grande propriété. Passionnée par les oiseaux, elle ignore que son père l’empêche de prendre son envol. Tout change le jour de ses sept ans, lorsqu’elle reçoit des jumelles. Elle découvre alors Fleur, la fille du jardinier, qui explore librement le domaine. Fascinée par son récit sur un oiseau inconnu, le rossignol, Cerise n’a plus qu’un rêve: le trouver.

Venez découvrir l’histoire de cet étrange costume que portait le médecin qu’on appelait médecins "becs" durant la peste de 1720, et surtout sur le masque au long bec d’oiseau qu’il portait.
Pour ensuite, réaliser à l’aide d’argile un petit masque en 3D qui pourra être utilisé comme porte clé ou diffuseur de parfum.

• Enfants à partir de 7 ans accompagnés d’un adulte
• Durée : 1h30
• Sur réservation au plus tard la veille de l’atelier : musee-histoire@marseille.frou au 04 91 55 36 89

Venez partager notre regard sur le monde !
Auvergne - Terre de caractère et de passions - Un film de Patrick Bureau

Ciné conférence en présence de l'auteur qui nous livre ici, grâce à de multiples rencontres le vrai visage de l'Auvergne d'aujourd'hui.
En 2018 L'UNESCO ne s'y est pas trompée en classant la chaîne des Puys d'Auvergne au Patrimoine Mondial de l'Humanité.

Si les volcans on façonné les paysages de cette terre, ils ont aussi forgé le caractère des Auvergnats. A travers sa géographie, son peuple, ses modes de vie, ce film permet de mieux saisir l'histoire de cette région du centre de la France. De Clermont-Ferrand aux sommets du Cantal, des sources de Vichy jusqu'aux gorges de l'Allier, Patrick Bureau a souhaité avec ce film, vous livrer le fruit de ses années passés en terre Auvergnate...

La conteuse s’avance. Elle pousse un orgue de Barbarie. La manivelle tourne. Les animaux défilent, car dans cet orgue, point de papier perforé, mais des animaux pliés qui viennent parader sur leur musique préférée.
Dans ce Carnaval, les rôles parfois se mélangent. Il se peut que les musiciens se mettent à jouer… la comédie. Accordéonistes, ou manipulateurs d’objets ?
Il se peut que vous donniez vous aussi naissance à un animal. Vous savez plier le papier ? C’est la fête du Carnaval, jusqu’au grand final.

Tout public, à partir de 7 ans. Durée : 45 minutes

France, 2025, Irène Baicué âgée de 36 ans, vit à Paris depuis quelques années. Au retour d’un voyage de travail, elle apprend que: «Tout citoyen Français possédant une double nationalité, dont une extra-européenne, sera contraint de renoncer à l'une d'entre elles pour pouvoir rester sur le sol Français.». Pourra t- elle choisir entre la culture Colombienne, inscrite dans ses hanches et ses paysages, ou la culture Française présente dans son éducation et sa langue maternelle?

Dans l’urgence de choisir, Irène enquête pour trouver sa « véritable identité ». On voyage avec elle dans le passé, en Colombie puis dans son imaginaire. Ses désirs et ses frustrations font l’objet de sa quête insatiable à vouloir se définir. Qui suis-je, qui me définit et pourquoi ai-je à me définir? Elle fouille dans son passé; sa parole et son jeu parfois nostalgique, nous font apparaître des personnages de son enfance, de son imagination et de son quotidien.

C’est avec humour et sincérité qu’elle emmène le public dans son univers, tiraillée entre deux personnalités, deux langues, deux passeports. Plus elle inverse les rôles, complète, agite et tire les fils de son histoire, plus elle prend conscience de son hybridité. Une infinité d'interrogations apparaissent sur des problématiques universelles telles que la citoyenneté, l’identité et le déracinement. Son duel permanent vis à vis du monde actuel, pousse Irène vers une sorte de folie amère. Entre rêve et réalité son regard s’aiguise, une conviction s’affirme laissant apparaître sa part d’humanité.

La genèse de ce disque s’est déroulée avec une fluidité rare. Mille façons ont été imaginées pour évoquer Django Reinhardt : son époque, ses compositions, ses solos, et le regard de ceux qui lui ont rendu hommage — dont Baptiste Herbin lui-même.
Chaque idée proposée au saxophoniste a suscité des réponses vives et inspirées, comme si le langage du génial manouche venait naturellement épouser le sien : spontané, habité, jaillissant.



La musique a trouvé sa place avec évidence.



Sylvain Romano offre un son de contrebasse profond, une clarté harmonique qui impose l’essentiel avec élégance.
André Ceccarelli, batteur au style inimitable, apporte une vivacité folle et un cœur immense, entièrement dédié à la musique. Dans la nudité du trio, tout devient limpide, rien ne manque.



Baptiste Herbin se révèle d’une profondeur exceptionnelle. Sa virtuosité, loin d’être démonstrative, s’efface pour laisser place à une expression pure, libérée de toute volonté, révélant l’essence même de la musique — comme un diamant brut. Sous cette lumière nouvelle, l’œuvre de Django se redécouvre, authentique, collective, et continuellement stimulante.




Avec ce projet, Baptiste Herbin s’affirme comme un maître à part entière, s’envolant vers des sommets d’inspiration fréquentés par les plus grands. Django! célèbre ainsi un artiste au sommet de son art, et la naissance d’un trio d’exception.





Les artistes :
Baptiste Herbin saxophone
Sylvain Romano contrebasse
André Ceccarelli batterie

Le sujet : l' histoire de la Nature morte.
Conférence de M. Gérard Saccoccini, Conférencier en Histoire de l'Art.
Objets inanimés, avez-vous donc une âme, qui s'attache à notre âme, et la force d'aimer ?
( Alphonse de Lamartine)
A travers les époques, les lieux et les cultures, la Nature morte inverse la hiérarchie des genres.
Véritable genre pictural polyvalent, les artistes l'ont utilisé pour expérimenter de nouveaux styles,
et de nouvelles techniques, pour faire comprendre que la Nature morte n'est pas une finitude,
car d'une fleur fanée, des graines vont s'échapper et redonneront la vie.

Dans des répertoires variés et des formes musicales déterminées par les musiciens, ces temps musicaux d’une heure deviennent des espaces privilégiés d’interaction, de dialogues entre artistes et publics.

Mercredi 12 novembre, 16h – Bibliothèque Renaud-Barrault, Avignon
Jeudi 13 novembre, 12h30 – Collection Lambert, Avignon
De l’aube à Minuit
Violons, Marie-Anne Morgant et Pauline Dangleterre
Altos, Louise Mercier et Irénée Krumenacker
Violoncelles, Louise Rosbach et Nicolas Paul

Quatuor « Lever de soleil » opus 76.4 en si bémol majeur de Joseph Haydn
Sextuor « La nuit transfigurée » op.4 d’Arnold Schoenberg

Jeudi 13 novembre, 20h – Conservatoire à Rayonnement Régional, Avignon (Auditorium Mozart)
Canciones de Amor / Voyage en terre d’amour de l’Espagne au Kurdistan
Chant, Emma Prat
Clarinette, Mio Yamashita
Violons, Natalia Madera et Robin Magny
Alto, Irénée Krumenacker
Violoncelle, Louise Rosebach
Contrebasse et arrangements, Matthias Courbaud

Eh fi amal – Ziad Rahbani/Fairuz (Liban)
Avre tu puerta cerrada - Traditionnel ladino
No?as mi srce pati – Traditionnel bosniaque
Amygdalaki tsakisa – Traditionnel grec
Oy u vichnevomu sadu (O myliy miy) – Traditionnel ukrainien
Yovano Yovanke – Traditionnel macédonien
Silava li min dikî – traditionnel kurde
Nostalgias – Juan Carlos Cobián/Estrella Morente (Espagne)
Lamouni elli gharou menni – Hédi Jouini (Tunisie)
Kele kele – Komitas (Arménie)

« Adieu donc, chants guerriers. Que mon vers se formule
En six et cinq pieds tour à tour:
Toi, ceins ton front de myrthe, ô ma Muse, et module
Ce nombre impair que veut l’Amour ! » Ovide, Elégie I

Célébrer le sentiment amoureux par le chant, c’est ce que nous vous proposons à travers ce concert, voyage en terre d’Amour, de l’Espagne au Kurdistan. Les chants que vous entendrez sont des chants des peuples, des chants d’amour, plus puissants que tous les « chants guerriers ».

Samedi 15 novembre, 15h – Le Castelas, Rochefort-du-Gard
Dimanche 16 novembre, 15h – Musée Calvet, Avignon
Reflets romantiques / Concert lecture autour des femmes artistes
Hautbois, Thierry Guelfucci
Piano, Cosima Guelfucci

Notturno, extrait des « Soirées musicales opus 6 » pour piano de Clara Schumann
Poème « Je vis , je meurs » de Louise Labé
Romances opus 22 n°2 et 3 pour Hautbois et Piano de Clara Schumann
Deux Sonnets de Pétrarque n°123 (I vidi in terra Angelica Costumi) et 104 (Pace ma non trovo) pour Hautbois d’amour et Piano de Franz Liszt, arr. Cosima Guelfucci
Poème « De l’amour » de Nashmia Noormohamed
Hommage à Edith Piaf, improvisation XV pour piano de Francis Poulenc
Lamento / Andante espressivo / Final, Pièces pour Cor Anglais et Piano de Clémence Reiset de Grandval

Partant des sonnets de Petrarque, de Franz Liszt dans une transcription de Cosima pour hautbois d’amour et piano, nous entendrons des pièces passionnément romantiques de Clémence de Grandval, de Clara Schumann et l’hommage à Édith Piaf de Francis Poulenc pour piano solo.

Samedi 15 novembre, 15h – Maison Jean Vilar, Avignon
Voyage en Amérique
Trompette, Guillaume Degrugillier
Cors, Mathilde Dannière et Gaëlle Claudin
Trombone, Didier Comte

Quartet 1 de Kerry Turner
Program repertoire for Brass Quartet
A Portrait No2 de Georges Gershwin
The conquest of Paradise de Vangelis
Maple leaf rag de Scott Joplin
West Side Story de Leonard Bernstein
The Pink Panther de Henry Mancini

De Broadway à la Nouvelle-Orléans en passant par les studios d’hollywood, le quatuor de cuivre vous propose un voyage mettant à l’honneur les multiples facettes de la culture musicale nord américaine.

Au programme : l’élégance de Gershwin, la fougue de Turner, l’émotion de Bernstein, le charme intemporel de Joplin mais aussi des styles populaires comme le jazz ou les musiques de film.

Tour à tour virtuoses ou lyriques, tendres ou éclatants nos quatre musiciens vous proposent une escapade joyeuse au cœur d’un siècle bouillonnant de styles et d’influences.

Un concert plein de contrastes et de couleurs où l’Amérique musicale du vingtième siècle se raconte en cuivre et en souffle.

Mardi 18 novembre, 19h – Église de Saze
Mercredi 19 novembre, 15h – Musée du Petit Palais, Avignon
Formation Boccherini
Violons, Gabriella Kovacs, Marie-Anne Morgant
Alto, Louise Mercier
Violoncelles, Louise Rosbach, Dorine Lepeltier
Soprano, Clémence Niclas

Stabat Mater en fa mineur pour quintette à cordes et soprano de Luigi Boccherini

Jeudi 20 novembre, 18h – École Supérieure d’Art, Avignon (Site Champfleury)
Dimanche 23 novembre, 17h – Delirium, Avignon
Quintette avec clarinette
Violons, Teresa Martinez et Robin Magny
Alto, Irénée Krumenacher
Violoncelle, Pierre Landy
Clarinette, Mio Yamashita

Quintette pour clarinette et cordes en La Majeur K. 581 de Wolfgang Amadeus Mozart
Quintette pour clarinette et cordes en si mineur Op. 115 de Johannes Brahms

Séparées par 102 ans, ces deux quintettes, pièces phares de la musique de chambre, et particulièrement du répertoire de clarinette, ont bien plus en commun que la similarité de leur effectif.

Dans l’une comme dans l’autre règne un profond lyrisme, bien que de caractère très différent, né en grande partie des possibilités et des caractéristiques sonores de la clarinette. Vivant les dernières années de leur vie, Mozart et Brahms ont été inspirés de l’art et la virtuosité de deux excellents clarinettistes de leur époque (Anton Stadler et Richard Mühlfeld, respectivement) qui joueront un rôle déterminant dans l’écriture. En quatre mouvements, les deux pièces partagent également un début de premier mouvement atypique où la clarinette arrive comme une surprise inattendue et un dernier mouvement sous forme de thème et variations qui feront entendre tous les instruments du quintette.

Vendredi 21 novembre, 20h – Théâtre des Halles, Avignon
Quatuor à cinq voix
Quatuor Mistral
– Violons, Pauline Dangleterre et Marie-Anne Morgant
– Alto, Louise Mercier
– Violoncelle, Louise Rosbach
Slam, Dizzylez

Quatuor « Lever de soleil » opus 76.4 en si bémol majeur de Joseph Haydn

Ce concert est né d’un projet d’éducation artistique et culturelle mené avec des mineurs incarcérés au Centre de détention d’Avignon-Le Pontet. Pendant deux mois, à travers des ateliers de médiation autour de l’orchestre et de pratique musicale, ils se sont initiés au slam aux côtés de Dizzylez. Leur travail s’est concrétisé par une restitution accompagnée d’un quatuor à cordes au Centre de détention d’Avignon.

Sur scène, vous retrouvez ce quatuor et Dizzylez, pour revivre et partager cette rencontre singulière entre le slam et la musique de Joseph Haydn, entrecoupée d’extraits de la musique de Philip Glass, Lionel Ginoux et Jules Mazyn.

Samedi 22 novembre, 10h30 – Cinéma Utopia (Manutention), Avignon
4tet Hybride
Violon, Eugène Ducros
Contrebasse, Frédéric Béthune
Harpe, Mathilde Giraud
Voix, Fiona Ait Bounou

On croirait certains univers musicaux faits pour ne jamais se rencontrer, et pourtant ; quelques arpèges de harpe soutenus par un walking bass qui swingue. Des traits de violons bien sentis qui soulignent une voix se baladant entre scat et lyrisme.

C’est ce que propose le 4tet Hybride : « une ambiance de Jam après une soirée à l’Opéra ». Un hommage au jazz dans le sens le plus large du terme, à l’improvisation et à ces interactions musicales impromptues.

C’est une ode à la joie d’être ensemble, au partage et à l’ouverture d’esprit. Car après tout… pourquoi ne pas se rencontrer ?

Samedi 22 novembre, 18h – Église de Saint-Saturnin-lès-Avignon
Dimanche 23 novembre, 15h – Théâtre Transversal, Avignon
Musique sans frontière(s)
Violon, Corinne Puel
Piano, Andret Mornet

Tango jalousie de Jacob Gade
Oblivion d’Astor Piazzola
Pavane de Gabriel Fauré
Nocturne n°20 de Frédéric Chopin
Medley Michel Legrand (piano seul)
Suite jazz « Baroque and blue » de Claude Bolling
La tour infernale de John Williams
I remember Clifford de Benny Golson, en hommage à Clifford, trompettiste décédé à 25 ans
Medley Il était une fois dans l’Ouest et L’homme à l’harmonica d’Ennio Morricone, en hommage à Claudine Cardinale
Quatre Saisons, Été, 3ème mouvement Presto d’Antonio Vivaldi
Memories d’Andrew Weber
My heart will go on de James Horner
Un homme et une femme de Francis Lai
Wonderful world de Louis Amstrong
La Czardas de Vittorio Monti

Samedi 22 novembre, 19h – Le Grenier à Sel, Avignon
De la quinte au quintette
Quatuor Vernet
– Violons, Sophie Saint-Blancat et Eugène Ducros
– Alto, Irénée Krumenacker
– Violoncelle, Emmanuel Lécureuil
Piano, Laetitia Grisi

Quatuor « Les Quintes » en ré mineur op.76 n°2 de Joseph Haydn (composé en 1797)
Quintette en La Majeur op.81 de Anton Dvorak (composé en 1887)

Composé en 1797, le Quatuor surnommé Les Quintes en raison de l’intervalle de quinte prédominant dans tout le 1er mouvement, fait partie des 6 célèbres quatuors op.76 écrits à la fin de la vie de Haydn (dit le « père » du Quatuor).

Passons ensuite au quintette, un des chefs d’œuvre de la musique de chambre romantique composé en 1887, ce quintette de Dvorak mêle formes classiques et couleurs folkloriques tchèques.

Concerts gratuits sur réservation à : communication@orchestre-avignon.com / +33 4 90 85 22 39