Agenda

La visite s’attachera à retranscrire, grâce aux archives présentées, l’histoire du port emblématique connu dans le monde entier. De sa création au XVe siècle, en passant par son activité commerciale intense, sa découverte par les peintres et la transformation actuelle en port de plaisance. Fakenews, idées reçues, redécouvrez ce port !

Visite sur inscription auprès de Saint-Tropez Tourisme (25 personnes maximum).

Au cœur de l’événement anniversaire de l'AOP, un espace de dégustation-vente réunira les 12 domaines de l’appellation.
L’occasion unique de rencontrer celles et ceux qui façonnent ce terroir exigeant, d’échanger autour de leurs cuvées et de découvrir leur vision d'une viticulture engagée et responsable.

De 11h à 18h, participez aux masterclass vins, prenez part aux ateliers créatifs des Baux-Arts, initiez-vous à la biodynamie et régalez-vous des menus du Food Court des Baux.
Rouges de caractère, blancs lumineux, rosés gourmands : toute la palette des vins de l'AOP Baux-de-Provence vous attend.

Un Baux Jour à partager !

Au début du XX? siècle, la vannerie était au cœur de la vie locale : en 1906, 206 vanniers pour seulement 2 000 habitants !


Créé en 1988, le Musée de la Vannerie prend place sur le site même de l’ancienne vannerie "La Glaneuse". Il abrite aujourd’hui une collection exceptionnelle et vivante, enrichie au fil du temps grâce à la générosité des habitants de Cadenet, dont la plupart ont eu, un jour ou l’autre, un lien personnel ou familial avec un atelier de vannerie.

Ce que vous y découvrirez :

Plus de 1 000 objets tressés d'ici et d’ailleurs : paniers, chapeaux, mobiliers, décorations…
Une immersion dans les gestes et outils d’atelier : serpettes, sécateurs, moules et autres instruments d’époque.
Des témoignages rares : enregistrements audio et vidéos d’anciens vanniers provençaux.
Un aperçu des matières premières utilisées à travers le monde : osier, rotin, bambou, châtaignier, et même plastique.


C’est à l’initiative de l’Association des Amis de Cadenet que la collecte et l’inventaire des collections des 400 premiers objets du musée ont été réalisés. Lors de la reprise de la Fête des Vanniers, en janvier 1977, Geneviève Ricard, alors présidente de cette association, a fait appel aux anciens vanniers présents afin de susciter des dons de vanneries. Le projet de création d’un musée était déjà d’actualité. Ces vanneries recueillies forment la part la plus importante de la fabrication locale. Se sont ensuite ajoutées des pièces provenant de tous les continents.

Le musée conserve et présente, aujourd’hui, près de 2000 vanneries utilitaires et d’ameublement qui témoignent d’une activité qui a profondément marqué l’histoire de cette communauté villageoise du début du XIXème siècle à la fin du XXème siècle.

A découvrir :

• les outils des ateliers de vannerie: serpettes, battes, sécateurs, moules...
• une collection de plus de 1 000 objets de vannerie, présentés selon leurs différents usages (chapeaux, décors, mobiliers, travail domestique) et selon leur origine (Cadenet mais aussi Amérique, Asie…).
• des enregistrements sonores et vidéo dont une collection de témoignages d'anciens vanniers de Cadenet.
• les différents matériaux utilisés : osier, rotin mais aussi châtaignier, bambou, plastique...

Philippe de Champaigne

Né à Bruxelles en 1602 dans une famille pauvre, il est formé dès l'âge de douze ans au portrait miniature auprès de Jean de Bouillon, puis continue son apprentissage chez Michel de Bourdeaux avant d'apprendre le paysage avec le grand maître Jacques Fouquières, qui probablement le fait venir à Paris.

Il refuse d'intégrer l'atelier de Rubens à Anvers, mais souhaite visiter Rome.

Il s'arrête à Paris en 1621[5] et se fixe au collège de Laon, dans le Quartier latin. Il s'y lie d'amitié avec Nicolas Poussin qui y loge après son retour d'Italie, en 1622. Il travaille chez le maniériste Georges Lallemant, où il pratique la peinture d'histoire. Il quitte l'atelier de Lallemant vers 1625 et commence à travailler pour son compte. Le peintre Nicolas Duchesne conduisant les ouvrages du peinture du palais du Luxembourg l'emploie ainsi que Nicolas Poussin pour y faire des dessins de lambris avec des pots de fleurs et des paysages. Champaigne a fait plusieurs tableaux dans les chambres de la reine mère, en particulier une copie de Notre Dame du Caravage pour le Petit-Luxembourg. Ces travaux sont appréciés par Claude Maugis, abbé de Saint-Ambroise et intendant des bâtiments de la reine mais attirèrent la jalousie de Duchesne. Philippe de Champaigne préféra quitter ces travaux et retourner à Bruxelles, en 1627.

Remarqué par Marie de Médicis, il entre au service de la famille royale à partir de 1628[5]. À peine arrivé à Bruxelles, Claude Maugis lui a fait savoir que Nicolas Duchesne était mort et lui a demandé de revenir en France en lui proposant de prendre sa place de premier peintre de la reine Marie de Médicis[7]. Il est de retour à Paris le 10 janvier 1628. Il a obtenu un logement au palais du Luxembourg avec 1 200 livres de gages. Il a épousé Charlotte Duchesne (1611-1638), la fille de Nicolas Duchesne, le 30 novembre 1628 et repris son atelier[8]. Il reprend les travaux de décoration du palais du Luxembourg, dont les pièces maîtresses sont une série de grand tableaux relatant la vie de la commanditaire par Rubens. Champaigne y peint plusieurs fresques des plafonds. Il s'était déjà frotté à la théologie vivante des béguinages et se met tout de suite à l'œuvre pour répondre au projet de Marie de Médicis, qui souhaite mettre la représentation de la dévotion au service du politique[3]. La reine le fait travailler sur le couvent des Carmélites du faubourg Saint-Jacques.

Il reçoit en 1629 ses « lettres de naturalité ». Il vit alors au numéro 11 du quai de Bourbon (plaque).

Il est, avec Simon Vouet, l'un des deux peintres les plus réputés du royaume. Il est le seul peintre autorisé à peindre le cardinal de Richelieu en habit de cardinal : il le représente onze fois. Il est un des membres fondateurs de l'Académie royale de peinture et de sculpture, le 1er février 1648.

Après la mort de son fils unique, Claude de Champaigne (1634-1642), il fait venir de Bruxelles son neveu, Jean-Baptiste de Champaigne, pour le former dans son atelier. Ce dernier a été formé avec Nicolas de Plattemontagne. Il se rapproche des milieux jansénistes[10]. Il devient le peintre de l'abbaye de Port-Royal de Paris, puis de Port-Royal des Champs. Sa fille, Catherine de Champaigne (1636-1686) est religieuse de Port-Royal en 1656 sous le nom Sœur Catherine de Sainte-Suzanne. Elle perd progressivement l'usage de ses jambes en 1660. Elle est miraculeusement guérie au couvent de Port-Royal. Il célèbre cet événement dans Ex-voto de 1662, toile mystique d'action de grâce. Ce tableau, aujourd'hui conservé au musée du Louvre, représente la fille de l'artiste avec la mère supérieure Agnès Arnauld[11].

À partir de 1654, il participe à la décoration du palais des Tuileries, mais cette fois sous la direction de Charles Le Brun. Il est nommé professeur en 1655.

À la fin de sa vie, son activité pédagogique devient plus importante : même si aucun écrit ne subsiste de sa main, il existe des transcriptions de plusieurs de ses conférences, publiées par André Félibien en 1668. Il y commente plusieurs œuvres, dont celles du Titien, participant ainsi au débat entre coloristes et dessinateurs et prônant une attitude modérée[12].

Il meurt le 12 août 1674, à l'âge de 72 ans au 20 rue des Écouffes (plaque). Ce sera l’occasion pour les religieuses de Port-Royal de le mentionner dans leur obituaire comme « bon peintre et bon chrétien ». Enterré dans l'église Saint-Gervais-Saint Protais, ses cendres sont transférées vers 1794 dans le cimetière Saint-Gervais qui se situait au 2 rue François Miron (ancienne rue du pourtour Saint-Gervais).
(sources Wikipedia)

Un ballon, des potes, des goals... et de la bonne vibe !
Viens tâter du cuir (ou en rire) au tournoi de foot le plus détente de l’année !
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Les crampons sont facultatifs, de la bonne humeur à la place du sifflet !

Le théâtre à l’italienne de Tarascon est l’oeuvre de l’architecte marseillais Joseph Marius Letz (1837-1890), architecte en chef du département des Bouches-du-Rhône. Collaborateur de l’éminent Charles Garnier, il réalisa à Tarascon un véritable chef d’oeuvre de raffinement et d’élégance.

Le théâtre, lieu de loisirs et de spectacles, est inauguré en 1888 par une représentation du Barbier de Séville de Rossini. De nombreux spectacles, opéras comiques, tragédies, comédies, spectacles de music-hall se succédèrent et permirent ainsi de recevoir des noms étincelants tels que Joséphine Baker, Fernandel, Tino Rossi, Yves Montand ou
encore Édith Piaf. La façade principale fut ornée en 1898 d’un fronton représentant une lyre soutenue par deux anges, oeuvre du sculpteur tarasconnais Jean-Barnabé Amy.

• À 10h30 : Pour les férus d’histoire, la visite propose de faire découvrir le site, son histoire au fil des siècles et les événements marquants qui ont fait de ce théâtre à l’italienne
un lieu phare de la commune de Tarascon, guidée par Maïtena Chavaribeyre, de l’Association Culturelle et Historique de Tarascon.
• À 14h30 et à 16h : Pour les plus curieux d’entre vous, une seconde visite est organisée par les agents du théâtre. Ils vous invitent à entrer dans le monde du spectacle vivant et à
découvrir l’envers du décor, les coulisses ! Les visites ne sont malheureusement pas accessibles aux personnes à mobilité réduite.

Nous sommes dans une chênaie méditerranéenne, où les cris sonores des geais côtoient les bruissements dans les feuilles et les pierres : lézards, renards, sangliers s’activent autour de nous. Après un raidillon, la vue s’ouvre sur les gorges du Vançon, où l’on entend le bouillonnement lointain des eaux. Quelques minutes plus tard, quelques ruines en sous-bois attestent d’une ancienne présence humaine. Nous voilà dans une clairière : le hameau de la Forest et son ancienne chapelle seront notre refuge pour la nuit.

Une nuit hors du temps, en petit groupe
Je vous propose un bivouac facile, où l’on dort en « cabane » (refuge en dur), dans un lieu magique : le hameau du Forest, loin de toute présence humaine. Ce lieu n’est autre que l’ancienne église du village, désaffectée à la fin des années 30 car les habitants de ce village, ne disposant d’aucune route carrossable, l’ont progressivement déserté.

Nous serons dans un lieu en dur et abrité, mais dans un niveau de confort simple. Des paillasses en bois, où l’on pose son matériel pour la nuit. Des bancs, une grande table en bois à sortir dehors, pour notre dîner au soleil couchant.

Après la marche, vous aurez du temps pour explorer les alentours, vous baigner à la source… avant de vivre une soirée aux chandelles, avec cuisine « fait maison », préparée par votre guide. Il vous fera découvrir des spécialités maison avec des produits bio et/ou locaux, ainsi que des liqueurs traditionnelles de montagne.

En cette nuit de nouvelle lune, nous aurons un ciel parfait, à l’abri de toute pollution lumineuse, pour observer les étoiles.

Les enfants (dès 6 ans) sont bienvenus, s’ils sont autonomes dans la marche et peuvent porter leurs propres affaires sur leur dos (vêtements et change). Les adultes seront alors un peu plus chargés en nourriture. Des activités spécifiques de découverte de la forêt sont possibles, merci de signaler leur âge lors de votre inscription.

2/5. Randonnée facile, avec une montée plus soutenue pendant 20 min, sur sentier bien tracé, sans difficulté technique. Descente sur piste facile, en forêt. Aptitudes requises des participant.e.s pour participer à ce mini-séjour : être en capacité de porter un sac de 7-8 kg, et de marcher au maximum 1h30 par jour.

Prêt de matériel (sur demande) : + 20€ / personne, comprenant un duvet 0°C, un tapis de sol gonflable, un drap de sac, une lampe frontale.

HÉBERGEMENT / RESTAURATION / BAGAGES

Type d’hébergement : 1 nuit en refuge au confort sommaire, sur paillasses en bois, sur lesquelles nous installerons matelas de sol et duvet.

Repas : dîner et petit-déjeuner préparé par votre accompagnateur. Merci de me signaler en amont toute allergie, intolérance ou préférence alimentaire, afin de constituer des repas qui conviennent à toutes et tous.

Portage des bagages – Les bagages seront stockés dans vos véhicules ou portés en sac en dos, sur vous.

À propos du lieu – Dormir dans une œuvre d’art
Un site de la collection d’Art en montagne du Musée Gassendi (Digne)

C’est un « Refuge », œuvre d’Andy Goldsworthy, qui nous accueille pour la nuit. À l’écart des espaces de vie, où nous dormirons et cuisinerons, une partie du site a ét aménagée pour accueillir une œuvre d’art : celle d’un célèbre artiste britannique contemporain, Andy Goldsworthy. Figure du Land Art (sans pour autant s’en revendiquer), Andy Goldsworthy s’intéresse aux marques laissées par les humaines dans le paysage, aux traces de vie du passé. Et quoi de mieux qu’un ancien hameau, volontairement abandonné par ses habitants, dont les traces subsistent encore aujourd’hui, pour accueillir l’une de ses œuvres !

Nous la découvrirons ensemble, nichée dans une cavité de pierre en lieu et place du chœur de l’église, où la lumière naturelle semble dégager l’œuvre du mur, entourée d’une étrange « aura ».

« J’aime beaucoup que les gens puissent passer la nuit avec une sculpture. Et qu’ils ne soient plus seulement les visiteurs mais des invités à manger, à dormir. Se réveiller avec une sculpture doit introduire une relation plus intime entre le spectateur et l’œuvre. C’est la différence entre ‘’vivre avec’’ et ‘’regarder’’, entre un observateur et un participant » – Andy Goldworthy, à propos des Refuges d’Art.

Pour aller plus loin – L’itinéraire des « Refuges d’Art »

Ensemble, nous ne découvrirons qu’un site, mais Refuge d’Art est en réalité une seule œuvre d’art, se parcourant en une dizaine de jours de marche. Elle se compose aujourd’hui de sept refuges et de trois Sentinelles, que relie un chemin. Le projet artistique d’Andy Goldsworthy se développa à partir de l’idée d’un Three Cairn Walk, un sentier reliant tous des éléments créés (sentinelles de pierre sèche, gardiennes des 3 vallées autour de Digne) ou restaurés (refuges, comme celui de La Forest).

L’association Art en Chemin, réunissant accompagnateurs en montagne et hébergeurs, vous propose de découvrir cet itinéraire. Plus d’infos ici : https://artenchemin.fr

A propos de l’artiste : Andy Goldworthy (1956-)

Pendant ses études artistiques, l’artiste britannique Andy Goldsworthy travaille également dans une ferme. Il commence à réaliser des sculptures éphémères faires de sable, de neige, de pierres, de feuilles, de pétales ou de glace… Sans grandes modifications de l’ordre des choses, il observe et collecte des éléments naturels, pour créer des compositions aux équilibres précaires, qu’il photographie avant leur rapide disparition.

Dans la région de Digne, il s’intéresse aux lieux de vie passés, ancrés dans l’histoire agricole des montagnes. Il conçoit ces sentinelles, gardiennes de chacune des 3 vallées (Vançon, Bès, Asse). Il lui importe de reconstruire les Refuges à partir des pierres d’origine, il tient à la réhabilitation des lieux. Ils ravivent la mémoire et réintroduisent la vie en évoquant la présence humaine ancrée dans les montagnes.

Vivez une expérience toute en musique et en action avec la visite du patrimoine théâtrale et musicale " Mission Antoine & Cléopâtre". Ce spectacle original de la compagnie niçoise La Semeuse et de l’ensemble La Chambre fait se rencontrer deux figures incontournables de l’Angleterre baroque : William Shakespeare & Henry Purcell. Ce sera une course contre la montre insolite, drôle et pleine de rebondissements pour retrouver la pièce perdue de William Shakespeare « Antoine et Cléopâtre » que les comédiens devront présenter devant l'Empereur en visite…

Une visite pour toute la famille !

Mise en scène : Rowena Cociuban Direction musicale : Jean-Sébastien Beauvais

Ce spectacle est proposé par la Communauté de la Riviera française dans le cadre des Journées Européennes du Patrimoine, en partenariat avec le Centre des Monuments Nationaux, et avec le soutien de la Ville de La Turbie, du Crédit Agricole Provence Côte d'Azur et de la SPEDIDAM.

Un nouveau chapitre s’ouvre a? la Cite? des arts de la rue avec l’exposition manifeste du collectif L’E?chelle, outil coopératif de créations visuelles en espace public.

Entre peintures, sculptures, performances, e?ditions et rencontres, «Article R4323-63» propose un regard singulier sur la cre?ation contemporaine in situ. Cette exposition a pour ambition de présenter les artistes associés au projet du collectif : une multiplicité d'approches qui dessinent une vision commune de notre monde en émois.

Avec : Adrien Maufay, Alain Arraez, Charlie Maqueda, Germain Ipin, Jean-Baptiste Sauvage, Joris Maiotti, Kevin Klein, Laura Alarcon, Shareef Sarhan, Stéphane Moscato et The WA.
Nous serons ravis de vous accuellir pour ce(s) moment(s) de partage et de de?couverte.
Le collectif L'Échelle

Prévoir de bonnes chaussures de randonnée, de l’eau et un pique-nique. Pour la possibilité de covoiturage, se renseigner auprès de l'Association.

C’est une remontée dans le temps qui vous est proposée à travers la présentation d’objets du quotidien, de mobilier d’époque, d’habits portés par nos aïeux, de collection d’armes ou encore de l’évocation du séisme meurtrier de 1909.

Venez découvrir l'histoire des bâtiments qui ont abrité l'école Sainte-Thérèse de 1876 à 2009, rue d'Alsace, au coeur d'un quartier à la fois populaire et bourgeois.
Si vous êtes un ancien acteur de ces lieux (élève, enseignant, habitant...), venez à notre rencontre pour témoigner de votre expérience et participer à la reconstruction de la mémoire de cette école injustement méconnue.

Traitée en mode « BD », elle nous entraîne aux côtés de Charlotte et Marco à travers différents milieux naturels ponctués de traces et d'indices, jusqu'aux alpages tout juste déneigés...
Exposition en traduction anglaise.

Artiste sculpteur français, Jean-Pierre Baldini est imprégné par la culture méridionale. D’origines toscanes, né en 1949 à Cannes, il commence par la sculpture sur bois à 16 ans aux cotés d’un artiste espagnol qui le guidera. Parallèlement il complète cette enrichissante expérience par des études de dessin aux Beaux-arts de Nîmes. Curieux et passionné, Jean-Pierre Baldini, ne va avoir de cesse d’étudier les différentes techniques, les matériaux et de s’essayer à toutes sortes d’arts plastiques
(peinture, gravure, photographie…). Il est dans un continuel bouillonnement créatif. Rapidement, le talent de Jean-Pierre Baldini est remarqué et une première exposition en 1968 à la mairie d’Arles, sa ville d’adoption, lance sa carrière.
Depuis, les œuvres de Jean-Pierre Baldini sont présentées aux quatre coins de la France et même au-delà, jusqu’aux Etats- Unis. Entre temps, son travail s’est orienté vers le bronze d’art accompagné par des fondeurs avec qui il va collaborer
étroitement.
Pour Jean-Pierre Baldini,« Il n’y a rien de plus beau, de plus fort et de plus expressif que, le bronze, cet alliage issu du mariage du cuivre et de l’étain (…) Il est à la fois, souplesse et profondeur, rigueur et infini et, par le jeu de ses patines, couleur et lumière. En un mot, le bronze, c’est la vie ».
« La sculpture est un travail laborieux, rude et assez vaste pour occuper un homme tout au
long de sa vie. C'est un labeur qui tient au ventre et au cœur. Plus encore que la peinture, par la conquête de ses volumes, par l'alchimie de sa technologie et de son fini, la sculpture est une des multiples splendeurs que fous et sages ne se lasseront jamais de chercher. »

Venez à la rencontre des producteurs du marché : Yasmina (les Avettes du Ventoux) et son miel reconnu « Valeurs Parc du Mont-Ventoux » ainsi que Romain Chastel et ses fromages (Le trésor des chèvres) avec à ses côtés le chef Didier Peyron auteur du livre « Ma cuisine au chèvre ». Place aussi à nos fidèles producteurs d’Aubignan : Ludwig (Les douceurs du Comtat) et ses plantes aromatiques, hydrolats et produits CBD, ainsi que Vianney (La Ferme du Rocan) et ses foies gras, magrets, confits et rillettes de canard en Provence.
À 10 h, démonstrations et dégustations proposées par le chef Disciple d’Escoffier, Didier Peyron.

Durant un week-end, vous apprécierez un programme gratuit et varié : visites guidées, expositions, conférences, ateliers et plus encore. Ce temps fort, valorisant la diversité de nos lieux emblématiques et leur histoire, célèbre la transmission et le partage. L'occasion idéale de vivre une expérience matrimoniale unique en famille ou entre amis, grâce à l'ouverture exceptionnelle de sites niçois.

Découvrez le programme complet des JEP-2025 en cliquant sur le lien présent sur cette page.

Construit à partir de 1930, ses trois blocs de combats sont reliés par un couloir de 130 mètres qui dessert des espaces où la vie de 354 hommes pouvait être organisée en autarcie pendant plusieurs mois. Nul doute que Winston Churchill, un temps ministre Britannique de l’Armement et secrétaire d’Etat à la guerre, qui séjournait régulièrement sur la commune, avait eu connaissance des violents combats qui s’y était tenus en juin 1940 et du rôle décisif de l’ouvrage dans le conflit de 39-45. Bien que malmené par l’aviation et l’artillerie italienne, l’édifice bombardé avait réussi à faire respecter la devise des troupes de forteresse « On ne passe pas ».

Déambuler dans les rues de la cité des papes est comme un voyage dans le temps où dialoguent les styles: du roman au baroque, du gothique à l'Art Nouveau.
C'est à une nouvelle lecture de la belle provençale que vous convie Avignon Tourisme à travers ses monuments emblématiques.

Visite proposée dans le cadre des Journées européennes du patrimoine.

Durée : 2h/2h30 - jauge limitée à 25 personnes.


Gratuit - sur inscription : www.avignon-tourisme.com

Le Musée de Vence vous propose un voyage inédit à la découverte des années vençoises du grand peintre : après une visite de l'exposition, détour pour admirer la mosaïque que Chagall dessina spécialement pour la cathédrale de Vence, inaugurée en 1979.

La visite se poursuivra jusqu’à la plus grande chapelle du chemin du calvaire pour laquelle Marc Chagall avait destiné les dix-sept toiles illustrant le message biblique et le cantique des cantiques. Nous vous ferons revivre le projet initial du peintre à travers un dispositif numérique spécialement installé à cette occasion, sachant que l’intégralité de ces tableaux figurent depuis 1973 au sein du musée National de Nice lui ayant été consacré.

Rendez-vous devant le Musée de Vence, visite du musée (environ ¾ d'heure), de la mosaïque Chagall à la cathédrale (environ ½ heure), puis départ en direction de la chapelle haute (compter environ 15-20 minutes de marche, prévoir casquette et bouteille d'eau) pour une visite d'environ ½ heure.

Pour les JEP 2025, la Villa Arson accueille le MAMAC pour deux représentations « Dans la tête de Ben » avec Sophie de Montgolfier et Guillaume Geoffroy.

Synopsis : En public, Ben prépare une performance où il parlera de vérité, d’art, des peuples, de pâtes au pistou et peut être de lui.

Écriture et mise en scène : Jonathan Gensburger et Sophie de Montgolfier de la Compagnie du Dire Dire.