Agenda

Marche royale
Quatuor Girard
BACH-MOZART, L’Art de la Fugue, Contrepoint I
BEETHOVEN, Quatuor op.130-133

Concert au profit de la restauration de la porte l’église, sous l’égide de la Fondation du
Patrimoine. De même que les Mages sont parvenus à atteindre le but de leur long périple, bien
conscients que leur humilité serait une boussole plus fiable que leurs immenses savoirs, nous
arrivons au terme de cette immense aventure beethovénienne avec une musique qui associe
pleinement horizontalité et verticalité, tradition et modernité, corps et esprit, tensions et
détentes, dramatisme et plénitude... Une musique qui nous révèle ses mystères à mesure que
nous cheminons avec elle... De même que la Fugue a traversé de longs siècles d’Histoire de la
Musique tout en étant réputée pour être l’une des formes de composition les plus exigeantes
qui soit, l’église romane Saint Jean-Baptiste a traversé vaillamment l’histoire des hommes. La
faire vibrer nous relie à tout ce dont elle a été témoin et nous associe à tous ceux qui œuvrent
à sa préservation.

20e ANNIVERSAIRE


Le breaking, cet art athlétique dérivé de la culture hip-hop, est une forme d’expression, véritable mode de communication qui permet aux protagonistes d’exprimer leur personnalité, leur créativité et d'exploiter le plein potentiel de leur énergie positive.

Le breaking s’est imposé comme véritable phénomène mondial (théâtres, cirque, cinéma, musique, jeux vidéo, science, santé, sport...). Break The Floor International met la discipline en vedette à Cannes chaque année, à l’occasion de spectaculaires battles où l'on retrouve les meilleurs B Boys, les meilleures B-Girls et les Crews les plus renommées de la scène internationale.

Après cette performance saisissante, pourquoi ne pas vous laisser séduire par le breaking en intégrant la nouvelle Break The Floor Academy à Cannes ?

DIRECTION ARTISTIQUE : Karim Jabari

"Depuis 2006 l'élite mondiale nous fait rêver, nous transporte dans un monde à la frontière entre le réel et l'imaginaire. "Incroyable" "époustouflant" "stratosphérique" "sublime" "une merveille"... ce sont les qualificatifs employés par les professionnels de la presse et du monde du spectacle pour tenter de poser des mots sur cette expérience unique qu'est BTF."
Karim Jabari

UNE PRODUCTION PALAIS DES FESTIVALS ET DES CONGRÈS / ASSOCIATION ON EXISTE

- Le désert : théâtre d'objets. Un voyage au milieu du désert. Une araignée géante. Tout ça dans un théâtre avec quelques objets made in china et beaucoup de fiole de sable. Si vous ne connaissez pas le théâtre d’objet ceci est une bonne introduction
- Kiwi : Solo clown de et avec Thibault Villette. Vous savez jouer au foot ? Vous savez danser ? Chanter ? Cuisiner ? Effectuer un triple salto retour vrillé jambes tendues ? Kiwi aussi ! Action. Cascades. Rire. Joie. Émotion. Pluridisciplinarité et humanitude au rendez-vous. Une parenthèse poético-burlesque pour fuir la gravité du monde. C'est un hommage touchant à l'enfant en chacun de nous, qui ne manque pas de nous rappeler qu'il est toujours bon de rire de bon cœur et de se souvenir des jours plus simples.

La Pastorale Maurel est une excellente étude des mœurs de l’époque dont certaines sont encore conservées.
Les comédiens, tous amateurs, portent les costumes régionaux des années 1800-1830, en usage avant que le train à vapeur ne facilite l’acheminement de la mode parisienne à travers nos provinces.

Présentée en quatre actes, cette pièce, dans laquelle la représentation de la Nativité sert de prétexte à un enchaînement d'épisodes divertissants, s'achève par l'ultime rassemblement des personnages autours de la crèche. Elle vous plongera, bien au delà de l'esprit religieux et de la crèche toujours bien présents, dans la Provence du 19ie siècle. Celle des petits métiers, des places et des villages, de cette proximité, de cette solidarité immédiate qui a su si bien accueillir « l’autre » en ne perdant rien de sa culture ou de sa personnalité.

C’est au cœur de cette société avec ses joies, ses peines, ses espoirs et ses labeurs que la pastorale vous invite à vivre pendant près de quatre heures.

Appuyés par la présence d'un orchestre d'une quinzaine de musiciens, d’une chorale, les acteurs, chanteurs, danseurs, tous parfaitement habités par leurs personnages, évolueront dans une mise en scène complètement revisitée et parfaitement maîtrisée. Elle est l’œuvre d’une grande lignée d’artistes aixois.

Dernière représentation de la création 2025 d'Emmanuelle Lenne, metteur en scène, intitulée "Y' a un loup" .
Si un jour notre chemin croise le loup, qu'advient-il de notre surprise, peur, colère, fascination, affabulation…. Ici l'on vit dans un village de montagne ; on est bergère, berger, herboriste, institutrice, naturaliste, bistrotier. Sept personnages vont se livrer et se délivrer, révélant de leurs pulsions secrètes, de leur histoire d'enfance. Cette création met en jeu des scènes du quotidien, des traversées fantastiques, des transpositions poétiques. Elle parle à tout le monde, avec notamment des reprises de fables de Jean de La Fontaine.

Dernière chance pour voir ou revoir cette pièce, tout en faisant une bonne action en faveur du Téléthon.

Patrie du dieu Pan, cette enclave rêvée des classiques grecs se traduit aussi en musique, s'associant volontiers à la flûte enchantée du facétieux protecteur des bergers et de leurs troupeaux.
Dans un programme de trios sans basse, deux flûtes dialoguent avec le violon en suivant les inspirations des compositeurs, passionnées ou pastorales, sérieuses ou sensuelles ...

Car, de Couperin à Debussy, beaucoup ont fait vivre en musique ce petit paradis.

Une odyssée vers les sommets célestes d'une humanité qui aurait enfin appris à vivre en paix.
Sébastien Marq a étudié la flûte à bec en France, puis aux Pays-Bas où il a obtenu son diplôme Uitvoerend Musicus.

Premier Prix au concours de Bruges avec le Lous Landes Consort, soliste des Arts Florissants de William Christie, il est également invité par Jordi Savall, Emmanuelle Haïm, le Concert de la Loge de Julien Chauvin, ou l’Ensemble Marguerite Louise de Gaétan Jarry. Il se produit en musique de chambre avec l’Accademia dei Dissonanti, l’Ensemble La Rêveuse ou les Marq’s Brothers & Sisters, qui réunit les musiciens de sa famille. Il a récemment été soliste invité du Wiener Philharmoniker, du New York Philharmonic, et du Berliner Philharmoniker.

Il a participé à une centaine d’enregistrements, notamment avec le claveciniste Pierre Hantaï et Le Concert Français, le violoniste et chef Jean-Christophe Spinosi (La Notte, concertos de Vivaldi), et l’Ensemble La Rêveuse de Florence Bolton et Benjamin Perrot.

Sébastien Marq est professeur de flûte à bec et de musique de chambre au CRR de Paris. Professeur honoraire au Conservatoire de La Haye (Pays-Bas), il est invité à donner des Master Classes aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, aux Pays-Bas, au Mexique et au Japon.

Meillane Wilmotte étudie la flûte à bec auprès de Pierre Hamon et de Jean-Pierre Nicolas.

Après l’obtention des médailles d’or en instrument et en musique de chambre, puis d’un prix régional de la région Centre, et d’une licence de musicologie (Tours), elle se perfectionne au CRR de Paris ou elle obtient un diplôme d’études supérieur de musique ancienne. Elle étudie une année au conservatoire d’Utrecht dans la classe de Heiko ter Schegget. Parallèlement, elle entreprend des études de flûte traversière baroque , puis obtient une médaille d’or dans la classe de Jean-Christophe Frish (CRD Levalois-Perret).

Elle joue régulièrement avec les ensembles Les Talens Lyriques (dir Christophe Rousset) et l’ensemble Le Concert d’Astrée (dir Emmanuelle Haim) avec qui elle participe à de nombreux enregistrements (Monteverdi, Haendel…). Ces formations l’amène à se produire sur de grandes scènes internationales tel Le Barbican ( Londres) Lincoln Center ( New York), Theater van der Vien, Philarmonique de Berlin…

Depuis plusieurs années, son activité musicale l’amène à se produire dans divers ensembles tel que Il Seminario Musicale (dir Gérard Lesne), Les Paladins (dir Jérome Corréas), Mathéus (dir Jean-Christophe Spinosi), Ammarillis (dir Héloise Gaillard), en France comme à l’étranger.

Elle enseigne actuellement au CRD de Gap. Elle est membre fondateur de l’ensemble Les Faveurs et de l’ensemble Les Oreilles d’âne.


Françoise Rojat Alto, Quinte de violon, Viole d’amour, violon.

Après des études d’alto, de musique de chambre et de pédagogie à l’École Normale de Musique de Paris,
Françoise Rojat se spécialise dans la musique du XVIIe et du XVIIIe siècle à l’ARIA de Nantes auprès de Daniel
Cuiller puis au CRR de Paris où elle obtient le Diplôme Supérieur de musique ancienne.
Elle est titulaire d' une maîtrise de musicologie de l’Université de Paris-Sorbonne traitant de l’alto en France au XVIIe siècle.

Depuis elle joue et enregistre à travers le monde dans de nombreuses formations avec notamment : Le Concert Spirituel (dir. H. Niquet), La Grande Écurie et la Chambre du Roy (dir. J.-C. Malgoire), Les Ambassadeurs (dir. A Kossenko), Les folies françaises (dir. P Cohen Akenine), Il Seminario (dir. G Lesne), Le Poème Harmonique (Dir. V. Dumestre), Doulce Mémoire (dir. D. Raisin Dadre), etc.

Parallèlement, elle collabore aux cordes, au soubassophone ou à la direction artistique à des projets d'éducation populaire, d'enseignement et de médiation culturelle... expériences qui la conduisent à l'installation du Salon de Musique, ici à Embrun.

Réservation en ligne vivement conseillée. Paiement sur place.

Chacun peut venir avec son vélo, seul, en famille ou avec des amis !

En partenariat avec le LEST (CNRS-AMU) Par Denis Merklen, sociologue, Université Paris-Sorbonne-Nouvelle, directeur de l’IDHAL
Le programme de Javier Milei est à la fois une réponse à la crise de l'inflation, au discrédit de la classe politique, et à une demande sociale de base populaire. En arrière-plan, une série de transformations sociales permet de comprendre la crise actuelle de la démocratie argentine. Et ce projet d'extrême droite peut être mis en regard des extrêmes droites européennes.

Un match des Spartiates après le travail, quoi de mieux ?

Tous ensemble pour une nouvelle victoire !

"Une nouvelle intervenante, Mme Barbara GAÏTANAROS, nous proposera de travailler autour du thème des émotions, afin de mieux les comprendre et les apprivoiser, dans le cadre de la maladie

Objectif : apprendre à identifier, accueillir et transformer ses émotions, tout en comprenant leur lien avec les douleurs physiques et les expériences passées.

Déroulé :
Cercle de parole : partage autour des émotions ressenties au quotidien et lors des épisodes de douleur ; mise en mots des sensations corporelles associées.
Cartographie des émotions : repérer dans le corps où se manifeste chaque émotion (colère, peur, tristesse…).
Dialogue avec l’émotion : en binôme ou en auto-coaching guidé, donner une « voix » à l’émotion pour comprendre le message qu’elle transmet.
Dissociation douce : apprendre à observer une émotion avec recul, afin d’en diminuer l’intensité et de retrouver un sentiment de sécurité.

Sur réservation OBLIGATOIRE par téléphone au 07 75 73 41 77
5€ adhérents
15€ non adhérents "

Après six ans d’absence, Nawell Madani revient sur scène pour y raconter sa vie, tout court et sans détour. Féroce.



En six ans, Nawell Madani n’a pas molli. Elle a écrit, réalisé et produit la série Jusqu’ici tout va bien qui cartonne sur Netflix, joué dans des films, fait un voyage express en Mongolie, donné naissance à sa fille Lou et s’est coupé les cheveux… Tout court.


A 44 ans, la comédienne « belge, rebeu et musulmane 2.0 » a décidé de faire un point sur sa vie et sur le temps qui passe. De son lifting à son embrouille avec Rihanna aux Oscars, de son Rendez-vous en terre inconnue à ses difficultés à devenir mère, le verbe n’a rien perdu de son punch. Il frappe là où ça touche et là où ça rigole. Direct et sans pincettes.



De et avec Nawell Madani.

C’est presque Noël. Sur un parking de supermarché, au milieu des poubelles, deux hommes, le narrateur et Pierre, son acolyte accordéoniste, préparent un petit spectacle. Ils attendent les cars des pèlerins qui, peut-être, ne viendront jamais. Autour d’eux, les silhouettes des « invisibles », celles et ceux qu’on ne regarde plus. En toile de fond, un fantôme inattendu : François d’Assise. Et si celui-ci était né en 1982 ? Qui sont les exclus du monde qu’il aurait rencontrés sur sa route ?

Après Laïka et Pueblo, le Théâtre Joliette accueille le dernier volet de la « trilogie des pauvres diables » d’Ascanio Celestini, où se mêlent satire, tendresse et poésie brute. Porté par la musique live de Philippe Orivel, David Murgia, cofondateur du Raoul Collectif, fait résonner une parole brûlante. Avec Rumba ils concluent leur exploration des périphéries par une ode à la mémoire des oubliés de notre société.

Ascanio Celestini
David Murgia
KUKARACHA

Musicalement exceptionnel, techniquement hors norme, le groupe So Floyd a su convaincre les mélomanes, les puristes et les fans de Pink Floyd par la précision de ses riffs, la magie des lumières, la qualité du son, l’interprétation exceptionnelle et la fidélité troublante aux concerts du légendaire groupe londonien !

Revivez sur scène tous les titres légendaires « Another brick in the wall », « Money », « Time », « Wish you were here », « Shine on you Crazy Diamond » et bien d’autres encore…

Un show en 4 actes, correspondant à autant d’univers visuels et sonores, qui permet de retrouver les différentes époques de la production musicale riche et variée du groupe culte. Deux heures de spectacle pour un hommage troublant qui promet un bond dans le temps et une approche originale de l’œuvre du plus grand groupe des années 70 !

Photographies Olivier Chomis
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Son noir et blanc contrasté, inspiré par les images de Bill Brandt et le cinéma des années cinquante, est devenu son style, au jeu de l’ombre et de la lumière.

À soixante ans passés, le moment propice est venu pour l’artiste, de réunir ses photographies personnelles, prises au cours de ses déplacements en France et à l’étranger, pour des commandes professionnelles. Cette exposition met en lumière une œuvre cohérente, sensible, à la fois classique et contemporaine. Elle parle à toutes celles et ceux qui, à travers l’image, cherchent à mieux observer le monde qui les entoure pour y déceler leur propre vision de la réalité.
Le regard sensible et structuré d’Olivier Chomis s’ancre dans l’urbain, l’architecture, la solitude moderne. Il s’attache à révéler ce que beaucoup ne voient pas toujours : silences de l’isolement dans la ville, géométries révélatrices de formes imprévisibles, lignes qui s’intensifient sous la lumière ou fuient mystérieusement dans l’ombre. Sur les rares images où l’humain s’absente, la construction graphique nous entraîne dans un labyrinthe où l’esprit s’égare à la recherche d’une présence.
Le travail photographique d’Olivier Chomis nous invite à ralentir et à observer, en donnant à voir le monde autrement, avec poésie et sérénité.
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Zeynep Kerhervé et Arnaud Baumann, commissaires d’exposition

Originaire de Sicile, Davide Enia s’est rendu à plusieurs reprises sur Lampedusa. Ému par les réfugié·es qu’il y croise, l’auteur s’est intéressé à la manière dont la crise migratoire transforme le quotidien des habitant·es de l’île. Sauveteur·ses, pêcheur·ses, médecins : toutes et tous ont été confronté·es à cette actualité, et ont vu leur vie bouleversée. Il en a tiré ce texte lucide et poignant interprété par Jacques et Léon Bonnaffé. Les deux acteurs tirent le fil d’une relation père-fils marquée par les non-dits, les contradictions et les fragilités.

Ici, pas de grands discours, mais des confessions et des silences. Serions-nous, nous aussi, prêt·es à sauver des vies ? Entre récit intime et matière documentaire, "Abysses" interroge notre capacité d’accueil et d’humanité.

Texte Davide Enia
Mise en scène Sara Amrous et Jacques Bonnaffé
Avec Jacques Bonnaffé et Léon Bonnaffé.

Jérémi Martinez invite Matthieu Fabre et Jérémie Fabre pour interpréter quelques standards.
Ce trio sans harmonies traversera les décennies antérieures du jazz pour le plus grands plaisirs de vos oreilles.

Matthieu Fabre – Saxophone Ténor
Jérémie Fabre – Contrebasse
Jérémi Martinez – Batterie

C’est l’aube. Le cirque Natchav arrive en ville. Le chapiteau est en train de se monter quand brusquement, au nom de la sécurité, les autorités somment le cirque de partir. À la suite d’une échauffourée, l’un des acrobates est arrêté et incarcéré pour outrage et rébellion. Comment le faire évader ?
En confrontant deux univers radicalement opposés, celui de l’enfermement et celui du cirque, Natchav (s’en aller, s’enfuir en romani) se veut une ode à la liberté. Sans paroles, quatre manipulateurs et deux musiciens bruiteurs fabriquent devant nous cette histoire en direct, à la manière d’un film, avec un sens virtuose de la narration, du découpage, des lumières. Ici, on assiste en même temps au récit et à son making-of, et c’est impressionnant. De l’écran aux manipulateurs, en passant par les instrumentistes notre regard vagabonde, amplifiant notre plaisir de spectateur.
Avec ce spectacle façonné comme une robe de haute couture, qui a nécessité pas moins de trois ans de travail, la compagnie Les Ombres portées nous offre un récit haletant d’une folle beauté, un hymne à la liberté de circuler et de créer.
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Cie Les Ombres portées

A partir du contenu d'un procès du XXème siècle, conservé aux Archives Départementales, constitué d'analyses scientifiques ou encore de témoignages recueillis par la gendarmerie, entrez dans la peau d'un enquêteur pour résoudre l'enquête.