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Depuis des années, il se produit dans le monde entier avec son luth baroque noir unique. Sa musique intemporelle est souvent décrite comme hypnotique, minimaliste et envoûtante, alliant beauté ainsi qu’une touche sombre et méditative. Ses paroles ont une résonance chrétienne mythique, incorporant des thèmes tels que l’amour, la foi et l’au-delà, souvent avec un caractère répétitif, semblable à un mantra.

Au début de sa carrière, il a composé la musique du jeu vidéo Sims Medieval. Il collabore avec le cinéaste et musicien Jim Jarmusch, notamment pour la bande originale primée de Only Lovers Left Alive, pour laquelle Van Wissem a remporté le Cannes Soundtrack Award en 2013.

Son travail solo comprend des albums tels que Stations of The Cross (2008), qualifié de petit chef-d’œuvre par le magazine Wire, New Lute Music For Film (2013) et Behold! I Make All Things New (2022), ainsi que des bandes originales pour des films tels que Un Prince (2023).
Van Wissem effectue de nombreuses tournées, se produisant dans des lieux aussi divers que des festivals de rock ou des églises, et a collaboré avec des artistes tels que Tilda Swinton et Zola Jesus. En 2019, il a été chargé par la Cinémathèque française de composer la bande originale du film d’horreur muet Nosferatu (1922). Il a sorti la bande originale en 2022 sur son propre label Incunabulum. Le New York Times a écrit : Commençant par un solo joué au luth, sa performance intègre la guitare électrique et des enregistrements déformés d’oiseaux disparus, passant de la subtilité à l’horreur gothique. « Ma bande originale passe du silence au bruit en 90 minutes », explique-t-il, pour culminer dans un « death metal dense et lent ».

En 2026, il présentera sa nouvelle bande originale live pour The Cabinet Of Dr. Caligari (1920). Un nouvel album solo et une tournée mondiale sont prévus pour début 2026. Il interprétera de nouveaux morceaux, notamment des pièces cinématographiques hypnotiques de luth évoquant des paysages désertiques contemporains, en plus de la toute nouvelle bande originale du Dr Caligari mentionnée ci-dessus.

Redouane a écumé la France, l’Europe, et les autres continents aves son spectacle « on m’appelle Marseille ». Il a terminé sa tournée en apothéose dans son stade, sur ses terres, au Vélodrome.
Aujourd’hui il revient avec un nouveau show.
Des anecdotes désopilantes il en a beaucoup à vous raconter, il explique son parcours, sa réalité, son aventure incroyable, ses rencontres improbables, toujours avec le même ton, déconcertant et hilarant, celui qui lui est propre, remplit d’impro.
Venez découvrir Redouane Bougheraba “Mon premier spectacle"

Juicy production en accord avec RB Limited présente ce spectacle

Au programme, vous pourrez vous essayer au ski de fond (debout ou assis) et découvrir des jeux pour débuter, à la marche en raquette et ses jeux de pistes, au biathlon, à la pulka.
Le centre sportif du Dévoluy vous proposera aussi d'autres activités adaptés.

Matériel fourni.

La flûte de Samuel Bricault est tour à tour lyrique, grinçante ou éthérée - dans un entrelacs d’œuvres issues du répertoire classique et contemporain. Elle dialogue avec la voix frissonnante de Camille Carraz sur des textes de la littérature fantastique du 19e siècle, tandis que les vidéos abstraites et expressives de Quentin Bonami viennent en intensifier l’atmosphère.

Entrée libre - réservation obligatoire.

Afin de rendre la culture et les pratiques artistiques accessibles au plus grand nombre , les Jeudis de la Collection Lambert sont gratuits.

Au programme :
- jeudi 4 décembre : Mohamed Bourouissa

- jeudi 18 décembre : Madison Bycroft

- jeudi 22 janvier : Gabriel Abrantes

Le programme est susceptible de varier. Plus d'information sur www.collectionlambert.com

Gratuit - Dans la limite des places disponibles.

Dans le cadre de l'Entre2 BIAC
En portugais, en catalan, en sarde et ou encore en occitan, fora signifie « dehors ». Cette performance éponyme est un hommage vibrant à celles et ceux qui vivent aux marges, défient les normes et inventent leur propre chemin vers la liberté. Entre contrainte et délivrance, Alice Rende fusionne deux pratiques de souplesse et d’illusionnisme et sculpte son corps comme une matière en tension, faisant de la contorsion une riposte désespérée face aux oppressions extérieures…

Tout commence par un visage. Puis une silhouette qui tâtonne. Une paroi invisible se devine, une barrière translucide se dessine. La boîte apparaît, étroite, close. À l’intérieur, l’artiste lutte, habite chaque centimètre avec intensité, comme si elle cherchait à s’affranchir des diktats sociaux, des injonctions écrasantes d’une société qu’elle refuse. Les mouvements sont nerveux et inquiets : visages écrasés, corps distordus, retournements et lévitation... On y lit un combat, une lutte intime et poignante contre une domination invisible, insidieuse, qui cherche à marquer le corps. Mais, une fois l’issue atteinte, une fois soustraite à cette prison invisible… cette femme est-elle réellement libérée ? À travers les parois de plexiglas, ce puissant solo sonde notre pouvoir d’émancipation.

Vous aussi vous êtes une chieuse ?
L’une est célibataire endurcie.
L’autre n’arrive pas à tenir un couple.
La première est spirituelle.
La seconde cartésienne.

Tout les oppose et pourtant.
À elles deux, elles forment Le Gang des Chieuses.
Par choix ou par maladresse, découvrez pourquoi il est important de le rester… Ou pas.

Après la disparition d’un ami acteur, Damien Trapletti s’interroge sur ce qui pousse un homme à perdre foi en la vie et, par extension, sur les croyances que notre société exige pour y appartenir.

Sur scène, il raconte cette histoire, incarnant les voix de l’entourage et révélant les récits dominants qui structurent notre société : réussite, argent, performance, isolement. Le geste du mort agit comme un révélateur, mettant en lumière nos contradictions et nos illusions. Dans ce théâtre-miroir, chaque personnage devient symbole, chaque parole questionne nos valeurs.


Entre rire et vertige, un spectacle qui questionne nos illusions et nous oblige à regarder en face ce en quoi nous croyons vraiment.

Sortie de résidence - Entrée libre sur réservation.

Jeudi 22 janvier à 20h30 : JAM Session à Scène 55
Rencontre entre musiciens jazz et musiques actuelles
Entrée libre dans la limite des places disponibles
Bar sur place
Renseignements par téléphone au 04.92.18.50.02 ou par mail ecoledemusique@villedemougins.com

Alors qu'il cumule plus de 150 millions de vues tous réseaux confondus, Nino fait le pari de tout lâcher et de se lancer sur scène.

Après avoir fait ses armes en première partie de Gad Elmaleh et de Redouane Bougheraba, il est aujourd'hui enfin prêt à vous présenter son 1er spectacle.

Parfois insolent mais jamais insultant, il vous séduira tant par ses sketchs hilarants que par son sens inné de l’improvisation, qui lui permettent de developper une complicité toute particulière avec son public.

Dans ce spectacle, Nino se dévoile, dépeint sa vie et sa vision du monde à travers des sketchs qu’il n’a piqué à personne !

Une soirée à la découverte d’un artiste dont les dessins cherchent moins à choquer qu’à faire réfléchir.
L’occasion d’échanger avec celui qui a fait du dessin un langage universel, capable - avec très peu de mots - de dépasser les frontières linguistiques et culturelles.

La soirée comprend :
- l’accueil au champagne dans le patio de la Villa
- la conférence thématique
- le dîner au restaurant Béatrice concocté par notre cheffe Myriam Barda (*accord mets -vins et une flûte de champagne)

Face au chaos, Marsavril préfère « danser sur les décombres ».
Formé au printemps 2022, le groupe joue une musique à la fois épurée, puissante et chaleureuse, mêlant structures complexes et envie de faire danser.
Il reflète un son compact et complice, forgé par une solide amitié. Inspiré notamment par Badbadnotgood et Makaya McCraven, le quartet transforme ses nombreuses influences en un mélange personnel et inédit.
Leur musique, captée dans l’urgence comme dans la nostalgie, développe un imaginaire sensible, têtu et moderne.

Deeplodocus, ce trio toulousain au line-up original composé d’un saxophone baryton, d’un marimba et d’une batterie, s’inscrit dans une démarche musicale inventive et singulière.
Ils offrent un son qualifié d’ “électro-débranché”, solide et hypnotique, comme une pulsation animale et profonde. Ce choix mets en avant un groove brut, puissant et des sonorités pleines de sensibilité. "
Ambiance garantie.

Grâce à elles, nous retrouvons avec gourmandise les sacrés monstres du 7ème art que sont Bébel, de Funès, Le Splendid et tant d’autres.
Notre Monsieur Cinéma, partisan du rire ensemble, nous invite à (re)voir et (re)découvrir ces comédies populaires qu’il aime tant et qu’il a partagées avec ses enfants avant de les offrir au public. Un spectacle qui vous enchantera pour peu qu’il laisse aussi libre cours à son autre passion : le karaoké. Vive le cinéma !

Cette production originale de Franceconcert est l'événement incontournable des fêtes de fin d'année. Dans cette merveilleuse histoire, suivez Clara sui reçoit un casse-noisette en forme de petit bonhomme. Une nuit, ce jouet prend vit et mène une bataille contre les souris malveillantes qui envahissent la maison. Effrayée, mais courageuse, Clara rejoint le combat et, grâce à sa bravoure, voit le casse-noisette se transformer en prince charmant. Ensemble, ils sont transportés dans un royaume féérique. Le ballet composé en deux actes, a été présenté pour la première fois en décembre 1892 au Théâtre Mariinsky de Saint-Pétersbourg. Aujourd'hui, il reste l'un des ballets les plus joués au monde, grâce à sa musique envoûtante et à ses chorégraphies magiques. Un spectacle qui émerveillera les petits et fascinera les grands ! Réservez vos places dès maintenant et laissez-vous emporter par la beauté de ce conte éternel, idéal pour célébrer la période de Noël.

Ces ateliers ont été menés en partenariat avec les professeurs de Français, David Soulard et Yann Dayde, la documentaliste Elodie Keller, les lectrices de la médiathèque et le Centre Giono.

De l’hyper-réalisme de Peeping Tom à l’animalité primale de Claude Brumachon et Benjamin Lamarche, des influences dancehall de François Chaignaud et Cecilia Bengolea au style minimaliste de Lucinda Childs, en passant par leurs propres créations, classiques ou inédites, (LA)HORDE offre un kaléidoscope hypnotisant. Une histoire s’écrit sous les yeux des spectateurs, portée par onze interprètes prodigieux du Ballet national de Marseille, et s’achève sur un extrait de l’incontournable classique Room with a view.

Un polar surnaturel, issu d’un travail documentaire sur les croyances et les superstitions pour questionner le visible et l’invisible, la transmission, le pouvoir des mots et des silences.




Sonia vient d’emménager dans une maison de famille, auparavant habitée par sa grand-mère et, avant elle, par sa grand-tante. Un soir de pluie, elle recueille une femme qui vient d’avoir un accident. Celle-ci repart mais chuchotements et vibrations se font désormais entendre. La maison va se révéler « habitée » et Sonia en prise avec des phases de possession et des états de « passeuse d’âmes ». Sa meilleure amie Jeanne arrive à son tour et c’est ensemble qu’elles vont dénouer les non-dits de cet étrange héritage familial.




Les mots ont-ils le pouvoir de faire exister ? Est-on toujours sûrs de la frontière entre visible et invisible ?Inspirées par l’ethnologue Jeanne Favret-Saada qui avait travaillé dans les années soixante-dix sur la parole magique et la sorcellerie dans les campagnes de Mayenne, Lucie Berelowitsch et Penda Diouf ont collecté
durant plusieurs mois des témoignages et légendes dans le bocage virois, en Normandie. L’autrice a transformé ces récits en une fiction dont la mise en scène et la scénographie reflètent sans folklore la poétique étrangeté.




Mise en scène : Lucie Berelowitsch
Texte : Penda Diouf

Conférence animée par François Louis Pelissier, paléontologue et médiateur scientifique et culturel, Muséum départemental du Var

Plongez dans un monde où les mers étaient peuplées de lézards parfois gigantesques : les mosasaures. Ces prédateurs redoutables continuent de surprendre les paléontologues par leur incroyable diversité. Une découverte inédite en Provence révèle une nouvelle espèce qui enrichit leur histoire fascinante.

Dans l'atmosphère chaleureuse du bistrot, les convives pourront savourer un dîner tout en se laissant porter par les textes choisis et lus par les lecteurs de La Libri. Les mots exploreront les contrastes, les liens et les poésies qui unissent les villes et les campagnes. Pour sublimer cette ambiance, un accompagnement musical créera un dialogue harmonieux entre les mots et la musique. Ce dialogue se prolongera après le dîner par un échange ouvert avec le public, pour partager ressentis et coups de cœur littéraires.

Saint Lazare propose un voyage musical dans le Paris des années 50, où jazz et chanson française se mêlent avec élégance.
À travers un répertoire intemporel, le groupe ravive la magie d’une époque où la musique exprimait les émotions et les errances de l’âme.

La Mòssa, c’est quatre musiciennes de caractère, bien décidées à mêler leurs timbres et leurs percussions.



Elles s’inspirent de multiples cultures et traditions (Italie, la Réunion, Espagne, Occitanie, Suède, Venezuela…) pour aboutir, ensemble, à un véritable tourbillon polyphonique et percussif tissé de compositions personnelles bien ancrées dans l’air du temps. Un jubilatoire festin musical, tout à la fois subtil, fiévreux et engagé.



Voix et percussions: Emmanuelle Ader, Sara Giommetti, Aude Marchand , Lilia Ruocco.