Agenda

Dans le paysage culturel méditerranéen, notre évènement Danse au Jardin, se présente comme un temps fort dans le milieu de la danse, afin de permettre au plus grand nombre de vivre une expérience de danse participative et artistique dans un lieu d’exception que sont les Jardinsd’Albertas à Bouc-Bel-Air.
À travers une programmation ambitieuse, la danse sera représentée dans sa diversité, sa beauté et son inscription éminemment contemporaine.

Concours individuels (vitesse, adresse, dextérité)
Matchs 2 contre 2 pas de remplaçant
Ambiance conviviale & esprit d’équipe
De très belles récompenses
Montre que ton duo peut tout donner
Buvette sur place

L'un des deux moulins abrite un musée d'outils agraires que vous pouvez visiter lors des permanences. Si la météo est favorable action de voilage, mise en fonction du moulin et visite commentée gratuite.

Fondé en 1993 par Steve Lucas et son épouse Sandrine, le duo Night & Day séduit par une harmonie vocale unique et une complicité scénique rare, fruit d’une union à la scène comme à la ville. Dès la création du duo, Sandrine a tenu à mettre en valeur la chanson française au féminin, en interprétant les grandes voix de la variété : Édith Piaf, Patricia Kaas, Dalida, France Gall, Niagara, Axelle Red, Diane Tell, ou encore Liane Foly et Nathalie Cardone. Au fil du temps, elle a élargi son univers musical en y intégrant des sonorités latines et orientales, offrant ainsi au public une expérience toujours plus colorée. Aujourd’hui riche de plus d’un millier de titres, leur répertoire propose une large palette de styles musicaux où se côtoient les plus grands Standards Internationaux, les sons Pop Rock, la Variété Française et même le Lyrique.

De 9h30 à 11h30, découverte du handball pour des jeunes nés entre 2015 et 2018.
De 14h30 à 16h30, découverte du handball pour des jeunes nés entre 2011 et 2014

Discipline[s] souhaite donner une nouvelle visibilité à la scène contemporaine régionale auprès d’un public international et local de professionnels, collectionneurs et amateurs d’art. Cet évènement a pour but de pour soutenir localement le développement de ce marché, grâce à la qualité de l’offre artistique et de l’attractivité d’Aix et de sa région.
Pour sa première édition, Discipline[s] collabore avec la ville d'Aix-en-Provence dans le cadre de Cezanne 2025 et sa série d'évènements dédiés au père de l'art moderne.

Vernissage le 27 juin.

Participants :
-> Les galeries Parallax, Treize, Néa, Ars Longa, Ramand, Galerie de l'Est, Valid Foto, 12, Ouizeman & Silvarea, Espacio Argen, La Vie Moderne.
-> Les institutions Fonds Carta, Fondation Villa Datris, Château Charleval, Fondation Ria Keburia, Centre Photo Marseille, Vidéo Chroniques, Mac Arteum, Arts Vivants, Voyons Voir, Bonisson Art Center, Bill Viola Studio.

Artistes présentés:
Daria Krotova, Patrizia Mussa, Aurélia Rocher, Taisia Korotkova, Caroline Bourdelas, Joe Kesrouani, Aurelie Sicas, Mireille Fulpius, Amélie Auteur, Odysée Dao, Alfons Alt, Marc Avila
Catala, Goulven Delisle, Ilyes Mazari, Armelie de Sainte Marie, Ani Toidze, Sopho Mamaladze, Bill Viola, Andra Vau, Hugo Shüwer Boss, Marie guerrier, Stephane Lovigh- Bourgogne, Saleta Roson, Scarlett Hooft Graafland, Lila Schpilberg, Anna Villemet, Jeff Cowen …

Des entrainements sont prévus, trois semaines avant la manifestation, afin de maitriser au mieux le geste technique et la synchronisation des mouvements.

La rame traditionnelle se pratique sur des embarcations de 7m30 avec 6 rameurs et un barreur.
La barque rappelle les anciens pointus de pêche, mais ici la coque est en plastique, les bancs, les bordées et les rames sont en bois.

Ici, pas de règles : on tisse en toute liberté, on explore, on s’amuse, et on crée une petite œuvre unique, vivante et pleine de personnalité !

Visite gratuite du village, musées et église.

Parcours : arènes, Avenue Van Gogh, Rond-point des Gardians, Rue de la Republique, Avenue Jacques Chirac, rue Frederic Mistral, Avenue Van Gogh, arrivée arènes.

Associez randonnée sur Sainte-Victoire et découverte de l’exposition, réalisée en collaboration avec le Musée Granet. Portraits, paysages autour du Jas de Bouffan, natures mortes et Sainte-Victoire, autant de thèmes annonciateurs de son œuvre picturale.

Claire Morand Valenti

Cette autodidacte, qui dessine et peint depuis toujours, voit sa vie basculer dans l’univers pictural qu’elle affectionne et décide d’en faire son métier à plein temps. Elle quitte le médical et le social pour un monde plus doux et plus poétique, mais toujours attaché à l’enfance. Claire explique : « J’ai la chance inouïe d’avoir pu et su prolonger le plaisir et la capacité qu’ont les enfants à utiliser le graphisme et les couleurs pour exprimer bien mieux qu’avec des mots leur vision du monde, modelée en partie par leur univers intérieur et leur histoire. »Devenue illustratrice de livres pour enfants, Claire utilise surtout l’acrylique « pour la spontanéité qu’elle autorise. » « Ma peinture peut être aussi bien colorée et dans la précision, que sombre ou dans des tonalités plus pastel, et dans une amplitude du trait qui se fait volontairement plus imprécis. », dit-elle de son travail. L’artiste essaie de cerner au mieux l’état d’esprit de l’auteur afin que ses dessins naissent réellement de l’histoire qu’elle découvre. La minutie, l’obsession des détails, font partie de sa technique créative autant que les coups de pinceau amples et libérés sur la toile. La nature lui offre les contrastes qu’elle dépose d’une toile à l’autre, tels un « poème dans lequel les mots, les rimes et les effets de style épousent les formes, la vivacité des couleurs, et cette lumière qu’il faut suivre pour atteindre l’horizon derrière lequel sommeille l’inconnu, l’après. » Sa palette éclectique, comme elle l’appelle, lui fait dessiner et peindre des paysages à la fois naïfs et réalistes, mais aussi abstraits, des champs de fleurs qui s’étalent jusqu’à l’horizon, des animaux aux couleurs vives… un univers où l’enfance tient dans la main bienveillante d’une adulte qui sait guérir les blessures. Cette humanité a été déposée, avec son talent et son regard créatif, sur les pages de plusieurs livres pour enfants. Parmi eux, Les Nouvelles de Châteauneuf, Le Berger aux abeilles de Jocelyne Marque, Emma de Marianne Deliht et Les santons s’échappent en collaboration avec Fernand Gasiglia. Claire Morand Valenti expose régulièrement ses œuvres dans la région PACA et, notamment, à Nice sa ville natale, mais aussi dans une galerie parisienne. En 2021, sa cote d’artiste a été certifiée. C’est pour elle une belle reconnaissance de ses travaux et de son implication dans l’art.



Antony Boivert

Passionné de photographie et vidéo animalière, de nature et de voyage. Lors de mes voyages autour du monde, j’ai pu observer des animaux et des lieux tous plus incroyables les uns que les autres.

Pour fêter les 25 ans de sa désignation comme capitale européenne de la culture et les 30 ans de son inscription au patrimoine mondiale de l’UNESCO, la ville d’Avignon a confié a? un artiste enchanteur le soin d’investir ses sites emblématiques et ses musées, afin d’en révéler la richesse et la singularité.

Un évènement majeur, une première a? l’échelle nationale, le plus grand projet jamais conçu par le sculpteur.
Avec cette exposition exceptionnelle, déployée sur 10 lieux uniques, Jean-Michel Othoniel présentera 260 œuvres pour Avignon.

Il investira le Palais des Papes, le Pont d’Avignon, le Musée du Petit Palais–Louvre en Avignon, le Musée Calvet, le Muséum Requien, le Musée Lapidaire, le Couvent Sainte-Claire, les Bains Pommer, la Collection Lambert et la Place du Palais.


L’exposition « OTHONIEL COSMOS ou les Fantômes de l’Amour » dessine un gigantesque parcours monumental qui peuple les institutions gratuites et les sites historiques de la ville.
L’artiste a élaboré des œuvres qui se dévoileront d’un lieu à l’autre croisant la sculpture et la peinture, les briques et les perles, des Astrolabes et des fontaines, de l’or et du verre, des totems et des nœuds infinis. Articulée autour de la passion amoureuse cette exposition sa pareille est orchestrée comme une grande machinerie opératique avec, pour point d’orgue début août, une installation et une performance dans la Cour d’Honneur du Palais des Papes, spécialement chorégraphiée par Carolyn Carlson pour Hugo Marchand et Caroline Osmont.

Quand Lola vient passer le week-end chez Papy et Mamie, c’est toute une éducation qui est remise en question.
Lola est une petite fille sage et bien élevée, le rêve pour tous les grands-parents, mais pas ceux-là.
Vous réfléchirez à deux fois avant de leur confier vos enfants !
Les auteurs, grands-parents eux-mêmes, nous livrent une version très particulière des rôles de Papy et Mamie. Gageons qu’ils n’ont pas ce comportement là avec leurs petits-enfants !!!!

Au programme :
"Une colère affligeante" de Sylvain Magnan ( 11 min 33)
"Taximan" de Michel Reis ( 8 min 30)
"Dur à cuire" de Florian Sanchez (2 min 55)
"Yesno" de Antonio Amaral (8 min)
"Automatique" de Lucas Hamelin (8 min 55)

Avec plus de 200 participants, cette cyclotouriste ultra conviviale propose de gravir les plus belles routes en étoile autour de Vars.

Dimanche 29 juin : L'Echalp et Valpreveyre
Grand parcours : 113km / 1930 D+
Petit parcours : 90 km / 1280 D+

Lundi 30 juin : Col Lebraut et Mont Colombis
Grand parcours : 93 km / 2100 D+
Petit parcours : 63 km / 1 430D+

Mardi 1er juillet : Cime de la Bonette
Grand parcours : 101 km / 2 700 D+
Petit parcours : 76 km / 1 800 D+

Mercredi 2 juillet : Val d'Escreins et Col de Vars
Grand parcours : 51 km / 1450 D+
Petit parcours : 36 km / 900D+

Jeudi 3 juillet : Cols de Montgenèvre, col de l'Echelle et Chalets de Laval
Grand parcours : 102km / 1800 D+
Petit parcours : 67km / 961 D+

Vendredi 4 juillet : Col d'Allos et Pra-loup
Grand parcours : 121.5 km / 2730 D+
Petit parcours : 96km / 1830 D+

Il s'agit de prêter attention aux traces des usages, travaux et savoir-faire locaux, de l'échelle de l'objet à celle du paysage, et de faire connaître et comprendre les richesses de cet he?ritage.

Le Musée Vouland décline le thème en "Terre cuite ou ver de terre ?", du musée au jardin en passant par les paysages méditerranéens présentés dans les expositions. Les visites proposées rappellent la dimension régionale de la collection (faïences de Moustiers et de Marseille, paysages méditerranéens de la nouvelle école d'Avignon de la fin du XIXe et du XXe siècle) et les actions menées au jardin en faveur de la biodiversité, qui incluent le sol et la vie cachée (sous terre) autour du Canal de Vaucluse qui le traverse.

Visites commentées pour tous (limitée à 18 personnes)
Terres cuites d’ici, et d’ailleurs ?
> 14h30
De l'argile à la faïence de grand feu et de petit feu, savoir-faire et chaleur du four, à Moustiers, à Marseille, formes, fonctions et décors…

Au cagnard !
> 16h
Des lumières et paysages provençaux peints autour d'Avignon aux XIXe et XXe siècles au jardin du musée protégé du mistral, au Sud de l'hôtel particulier.

À l'ombre de l'érable…
> 17h
Ces jours-ci, les larves de cigales sortent de terre pour se transformer à la surface. Observons la vie au jardin refuge pour la Ligue pour la Protection des Oiseaux [Agir pour la biodiversité]. Ce que l'on voit, et ce que l'on ne voit pas !

Cet été le Petit Train de Briançon vous proposera 4 circuits touristiques.

La découverte de l’Histoire de Briançon avec le circuit Vauban, un subtil mélange entre histoire ancienne et histoire moderne avec le grand tour de Briançon, l’immersion dans les rues de Briançon pour découvrir toutes les œuvres d’art sur le circuit Street Art et enfin la découverte de la Cité Vauban au coucher du soleil sur la Vauban nocturne.

Anecdotes toutes plus étonnantes et passionnantes les unes que les autres, authenticité et points de vue splendides rythmeront ces voyages à bord du petit train !

Pour les jeunes explorateurs, une enquête est proposée à bord afin de rendre la visite encore plus captivante et interactive !

Benoît Piéron a une grande partie de sa vie été un voyageur immobile, cantonné à rêver et s’évader depuis les salles d’attente et les lits d’hôpitaux. De cette fréquentation des institutions médicales, de sa connaissance intime de la vulnérabilité et de la nécessité du partage des récits de corps différents, il crée des œuvres puissantes et délicates, où les couleurs pastel des draps réformés côtoient des boules à neige-médicaments, des porte-seringues disco, des veilleuses gyrophares et des chauve-souris de chevet... Autant de formes qui permettent de déjouer la morosité d’un univers clinique où l’on vit en pyjama et mange des coquillettes.

Dans un contexte où les institutions artistiques prennent conscience de leurs manquements en termes d’accessibilité et d’inclusion, Benoît Piéron a très largement été invité à exposer son travail, dans des centres d’art, musées et galeries de France, d’Europe et au-delà. Cette visibilité, ces productions et ces voyages se sont paradoxalement parfois faits au détriment de sa santé et de son énergie, l’incitant désormais à entamer une nouvelle phase de son travail, davantage centrée sur la transmission et les échanges, pour créer des processus collectifs et fédérateurs. C’est dans cette démarche que, suite à son invitation aux Capucins, il décide progressivement de partager l’invitation et de couper le gâteau en six parts. Cette volonté de partage correspond pour lui à un principe de « droit à l’exposition », de la même façon qu’on parle de « droit au logement » : une démultiplication de la visibilité pour contrer les logiques individuelles de starification des artistes, ces génies masculins, solitaires et torturés qui peuplent l’histoire de l’art traditionnelle. On n’est jamais seul·e à vivre quelque chose ou à réfléchir à un sujet, alors autant s’allier avec celles et ceux qui nous complètent pour faire avancer et complexifier les discussions.

Les autres parts de gâteau reviennent à cinq artistes avec qui Benoît Piéron partage des thèmes, des médiums et des intuitions : Marion Lebbe, dont les tableaux et dessins abordent la productivité, artistique et professionnelle, et surtout son empêchement ; Marguerite Maréchal, dont les sculptures volontairement fragiles déjouent la verticalisation de l’architecture et les injonctions au redressement des corps ; Milana Gabriel, qui instille le trouble entre folklore, nostalgie et violence ; Arthur Ménard-Salis, dont les costumes-paysages interrogent les rapports entre ornement et performances de genre ; et Adrien Fregosi dont les dessins et peintures à l’aérosol rendent, d’un geste aussi immédiat que sûr, la colère, l’humour et la mélancolie d’une expérience de l’art et de la maladie. Ces pratiques, si elles abordent souvent des questions déchirantes et révoltantes qui traversent les parcours individuels et les consciences collectives, ont en commun une approche formelle parfois pop, volontiers joueuse, proche du quotidien, avec une conscience de la fragilité et une irrévérence dans la mollesse.

Feu de la Saint-Jean place de la Liberté organisé par la Commission Municipale des Fêtes.

19h : Soirée dansante animée par le groupe Jade.
22h : Embrasement du feu.
22h30 : Spectacle pyroluminescent, projection sur les façades de l’église et de la Mairie.

Buvette et restauration sur place. Les enfants sont sous la responsabilité des parents.