Agenda

Préparez-vous à des oscillations hybrides et acrobatiques entre électro, musique afro-américaine et synthpunk avec Power trio instrumental, Nokamoz ;
Il nous embarque pour une odysée musicale acoustique et analogique, à grands renforts de turbo-séquenceurs et de synthétiseurs d'endorphines !

Le numérique est plus que jamais présent dans notre quotidien ! depuis 2021 un conseiller numérique est présent près de chez vous pour vous accompagner gratuitement en France services avec ou sans rendez-vous ainsi qu’en itinérance sur inscription OBLIGATOIRE sur le territoire de la CCSPVA.

Passer à l’action au 0761301795

L’exposition le Petit Peuple des Murs autour de
l’art urbain ou street art aborde une thématique
très actuelle : l’art dans la rue. Les artistes
choisis travaillent sur les murs de nombreuses
villes du monde et leurs interventions sont
maintenant reconnues comme de véritables
œuvres artistiques, notamment à travers
les commandes publiques qu’ils reçoivent.
L’exposition présente des artistes du “street
art” avec un hommage à Keith Haring, l’un
des précurseurs des années 80 et neuf
autres plus contemporains comme : Speedy
Graphito, Invader, Jef Aerosol, Jérôme
Mesnager, Mosko, Nemo, Paella
Chimicos, Oakoak, Monsieur Chat. Artesens
a sélectionné, parmi les clichés du
photographe Gérard Faure qui a côtoyé de près
la plupart de ces artistes, une photographie
bien représentative du travail de chacun en
milieu urbain.
Exposition Artesens

Une exposition temporaire retrace également l'histoire du mimosa sur la Côte d'Azur.
5 personnes minimum.

De la peinture « humanocrypte » d’Alain Bielle à l’imaginaire onirique de Bruno Cadet, du regard poétique et lumineux de Florence Trottoli aux sculptures textiles d’Évelyne Truffet-Verin, cette exposition célèbre la diversité des démarches artistiques contemporaines. Un dialogue entre textures, formes et émotions, où chaque œuvre exprime une quête de sens, de beauté et d’équilibre. Une rencontre harmonieuse entre matière, mouvement et humanité.

Présentée par Jean-Michel Sanchez
Docteur en histoire de l'art
Musicologue

Robert SCHUMANN (1810 - 1856) est un compositeur et pianiste allemand du romantisme. Il est célèbre pour ses œuvres au piano, ses lieder et ses symphonies, ainsi que son amour passionné avec la pianiste Clara Wieck. Sa musique allie lyrisme, intensité émotionnelle et imagination poétique.

Felix MENDELSSOHN (1809 - 1847) est un compositeur, pianiste et chef d'orchestre allemand du romantisme. Enfant prodige, il est connu pour ses œuvres lumineuses et élégantes, comme Le Songe d'une nuit d'été, ses concertos, symphonies et oratorios. Il a aussi joué un rôle majeur dans la redécouverte de Bach au XIXème siècle.

En intérieur dans la grande salle de conférence du Centre Culturel.
18h00 : Ouverture des portes.
18h30 : Début de la conférence.

Tarif : 10 € par personne - 5 € pour les adhérents CCC
Places assises non numérotées (placement libre).

Lieu de RDV :
RDV au Centre Culturel de Cassis.
Parkings conseillés : Parking de la Viguerie ou Parking Mimosas.

Infatigable homme de scène, il passait de la poésie au rock avec la même aisance. Sur des arrangements de Claude Basso, un groupe « maison » constitué pour l’occasion d’anciens et d’actuels enseignants ou élèves du Conservatoire TPM revisite le monde sensible et musical du troubadour Jacques Higelin.

« Je vais m’asseoir à une table et je vais m’amuser avec les gens. C’est une lecture, elle est bien sûr incarnée, mail il s’agit bien d’une lecture. C’est la force de la lecture que je cherche à retrouver. Le tout compose des morceaux du monde qui m’interpellent, qui m’amusent, qui m’intéressent, qui m’intriguent. » Pierre ARDITI

Au Théâtre Jean-Marie SEVOLKER, Pierre ARDITI lira des textes de Jean-Michel RIBES.

Le Festival Les Nuits Pianistiques ouvre l’année 2026 par un récital au Théâtre de la Manufacture, situé dans le cœur du Forum Culturel aixois. Il réunit un duo de musiciens d’origine polonaise, avec la soprano Joanna Wos et le pianiste Artur Jaron. La chanteuse prête son ampleur vocale, son timbre dramatique et sa noblesse du port au répertoire belcantiste italien. Le pianiste, accompagnateur ou soliste, apporte son jeu élégant et son toucher perlé, afin d’unir le souffle des héroïnes romantiques à la respiration intérieure du piano.

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Hector Berlioz, compositeur visionnaire souvent incompris, signe avec "La Damnation de Faust" une fresque musicale d’une intensité dramatique inédite, rejetée à Paris mais acclamée en Europe. Cette œuvre flamboyante, à la dramaturgie presque cinématographique, incarne l’apogée du romantisme musical.
Quant aux "Troyens", monument lyrique inachevé de son vivant, ils synthétisent ses grandes influences – Virgile, Shakespeare, Gluck – pour donner naissance à un chef-d’œuvre absolu du Grand Opéra français, démesuré et bouleversant, entre fracas épique et exaltation lyrique.

Programme : Hector Berlioz (1803-1869)
La Damnation de Faust, Op. 24
Les Troyens, Op. 24

Direction : musicale Victorien Vanoosten
Soprano : Karine Deshayes
Ténor : Pavol Breslik
Orchestre de l’Opéra de Toulon.

Maria Callas découvrit en 1949 avec le chef Tulio Serafin les enchantements de la coloratura, elle qui ne chantait alors que des rôles de soprano dramatique : elle devint l’Elvira des Puritani, dernier chef-d’œuvre de Bellini et du bel canto.

Bellini écrit son opéra en France, pour Paris, demandant conseil à Rossini, qui le soutient. Pour la première fois de sa carrière, il compose un opéra en trois actes et c’est un triomphe. L’intrigue, déplacée en Angleterre, fondée sur la passion contrariée et les sombres ressorts de la politique, donne un rôle majeur à la représentation de la folie, qui, on le sait, a été souvent un élément clé de l’Opéra. Pour le plus grand plaisir des spectateurs, Bellini dans I Puritani porte à une sorte de perfection son sens exceptionnel de la mélodie et du lyrisme, qui est sa véritable signature, et déploie tous les charmes de l’opéra romantique.

Caroline Guiela Nguyen - Théâtre national de Strasbourg

Entre réalité et conte, le poids des mots et de leur traduction.

Entre réalité et conte, Valentina explore le pouvoir des mots et le poids de leur traduction. Un soir, une fillette de 9 ans découvre un mot du médecin à traduire pour sa mère roumaine, sans imaginer la portée tragique de ce message. Entre l’école et l’hôpital, entre la France et la Roumanie, Valentina devient l’interprète de l’indicible.
Avec sa plume sensible et sa mise en scène empreinte d’humanité, Caroline Guiela Nguyen aborde avec justesse les drames silencieux du quotidien. Fidèle à son univers – après Saigon, Fraternité, conte fantastique et LACRIMA – elle offre ici un récit d’une grande délicatesse, où la vérité se murmure à hauteur d’enfant. Production du Théâtre National de Strasbourg.

Informations complémentaires :
Durée : 1h20
Public : 10 ans et +
Accessibilité :
Naturellement accessible aux personnes sourdes ou malentendantes — spectacle essentiellement visuel.
PMR : Accessible aux personnes à mobilité réduite (fauteuil roulant, canne, …).
Restauration sur place : possibilité de réserver votre repas

À l'issue de la conférence, possibilité d'un apéritif à 10€ au Charl's, sur réservation auprès de Monique Girault :
06 20 09 70 80 ou amisdufestival83@gmail.com

Depuis l’école primaire où il reproduisait des sketchs vus à la télé, il rêvait de la scène.

C’est par les réseaux sociaux qu’il va y arriver. Encouragé par ses proches, il publie une première vidéo sur Tik Tok, succès immédiat. Un an et demi plus tard, plus d’un million et demi de personnes le suivent au quotidien.

Comme il croit plus au travail qu’au talent, il prend son temps et c’est finalement GuiHome qui va l’emmener sur scène en produisant son premier spectacle.

Il y est question d’un garçon trop gentil qui ne sait pas dire non mais n’en pense pas moins. Regarder le monde, parler de ce qu’il connait, tourner son coming out en dérision, s’inquiéter de l’avenir de la langue quand Wejdene aura pris la place de Baudelaire, imaginer qu’une assistante virtuelle puisse faire office de psy. Arriver toujours à la même conclusion, celle qui existe depuis la nuit des temps, c’était mieux avant. Nicolas assume son côté un peu vieux jeu, celui d’un jeune homme nostalgique embarqué dans un monde trop rapide. L’air de rien, il dit beaucoup des angoisses de sa génération.

Aujourd’hui, même si les réseaux sociaux occupent une place importante, il sait qu’un artiste ne se fait pas en un jour et il redoute l’explosion en plein vol. Pas question de se reposer sur ses lauriers, surtout s’ils sont virtuels. Du coup, il travaille encore et toujours pour mériter chaque rire et chaque applaudissement et il aime ça.

Se contorsionner dans un espace bien trop étroit. Se débattre, se faire la malle. Et, une fois dehors, se sentir encore enfermé. Dans ce solo, Alice Rende s’appuie sur l’héritage d’Houdini l’illusionniste pour revisiter cette discipline acrobatique. Contrainte dans une boite de plexiglass, l’artiste semble comme emprisonnée.



Inlassablement, elle monte et descend, écrasant son visage contre la surface transparente qui rappelle étrangement les vitrines des musées anatomiques. Par la seule force de ses membres, elle glisse le long de quatre parois, immergée dans une ambiance sonore nourrie des bruits amplifiés de ses propres mouvements. L’artiste explore ses limites et nous présente ainsi une performance unique d’un genre nouveau.


Durée : 50 mn. A partir de 8 ans.

« Je me promène dans notre époque comme un unijambiste se baladerait au musée international de la chaussure : à moitié concerné, en claudiquant. J’écoute du Jul et du Vivaldi avec autant de plaisir et ne comprends pas qu’un génie de notre temps n’ait pas encore pensé au featuring en hologramme 3D.

Patate, c’est l’état dans lequel je me trouve souvent quand je vois comment vivent les gens. C’est aussi ce que j’ai envie de leur mettre dans le nez quand j’peux plus les supporter. Et c’est surtout l’énergie que j’ai quand mes sept heures trente de sommeil ont été respectées.

[Conclure ce pitch avec un argument fort pour donner envie aux gens de venir voir le spectacle] Si tu viens, tu sauras de quoi je vais parler. Si tu viens pas, tu sauras pas. »

Radical Ronron, c’est un OVNI de la scène festive lyonnaise, un délicieux mélange de pop, soul et groove qui ne ronronne pas du tout du tout !
Le quintet, mené par Emeline Galais et sa voix puissante, produit une musique jouissive, addictive, soutenue par des riffs délicieusement déroutants.