Agenda

Le grand orgue de Roquevaire constitue déjà un orchestre à lui tout seul avec sa console mobile de 5 claviers et une palette de timbres d’une richesse infinie.
À cette symphonie de tuyaux, l’édition du festival 2025 propose d’ajouter des instruments solistes : percussions, trombones, flûte, clarinette, saxophones et même un orgue Hammond…qui dialogueront dans des œuvres originales, mais également des pièces de répertoire parfois revisitées pour séduire un large public toujours friand d’adaptations insolites car uniques à Roquevaire. A côté des musiques de films ou de gospels, on pourra aussi (re)découvrir le sublime Chemin de Croix de Marcel Dupré, sur un texte de Paul Claudel qui sera servi par le conteur Vincent Fernandel. Et, comme à l’accoutumée, de grandes personnalités du monde de l’orgue seront aux claviers, sans oublier de tout jeunes et prodigieux talents, déjà dignes maillons de l’Ecole française d’orgue.

Les membres de l'association "Mémoires du Débarquement de Provence" vous accueillent en tenue d'époque pour célébrer les 80 ans de la Victoire de 1945.
Évocations d'un bivouac allié et d'une position de défense ennemie, exposition d'objets et histoires des batteries de côte au programme de ces trois journées !

« Championnat de France du Cheval Camargue » :

- Vendredi 19 :
9h00 : finale des femelles 2 ans à la carrière Nord et finale de juments suitées à la carrière Sud
15h00 : finale des mâles 2 ans à la carrière Sud et aptitude tri de bétail : Champion de la Race

- Samedi 20 :
9h00 : Juments de 3 ans et plus, modèles et Allures en main aux carrières Nord, Allures montées aux carrières Sud et troisième manche du Championnat de Tri Olivier Faure (Première partie des cavaliers).
14h00 : Parcours d’extérieur (épreuve obligatoire) et nouveauté 2025, « Trophée du Meilleur Reproducteur aux carrières Sud.
15h00 : Aptitude Tri de bétail 3 ans et plus (épreuve obligatoire)
15h30 : Epreuve Montée pour la Championne de la Race aux carrières Sud
18h00 : Election de la Championne de la Race

- Dimanche 21 :
8h30 : Mâle de 3 ans et plus, modèles et Allure en main aux carrières Nord et Allure montées aux carrières Sud
9h00 : Troisième manche du Championnat de Tri Olivier Faure (Deuxième partie des cavaliers)
10h00-12h30-14h00 : Parcours d’extérieur pour 3 ans et plus (épreuve obligatoire)
15h00 Epreuve Montée pour le Champion de la Race
18h00 : Election du Champion de la Race

Tisser un lien avec les habitants et le territoire
Prendre le temps de vivre la rencontre locale
Comment vit-on au quotidien dans un hameau

Parmi plus de 200 variétés, ne manquez pas notre incontournable : la confiture au Citron de Menton IGP, un véritable trésor de saveurs !

Le jardin -représentation symbolique du Paradis terrestre- sert au Moyen-âge à nourrir aussi bien les âmes que les hommes.
Cet espace clos, conquis sur les forêts dès le VIIè siècle, doit rester intimiste, protecteur et parfaitement entretenu.
Qu'il soit jardin monastique, jardin princier ou seigneurial et plus tard jardin extraordinaire et facétieux, cet espace est l'endroit où l'homme médiéval trouve de quoi se nourrir et se soigner, car la vie en autarcie nécessite de pouvoir assurer sa subsistance.
Ainsi et contrairement aux nobles qui conçoivent le jardin comme un espace de détente et de loisirs, marchands et artisans qui peuplent les villes ont tous un jardin hors les murs.
Dès le XIIè siècle, les riches marchands prennent l'habitude d'entretenir une maison des champs en plus de leur demeure en ville, car posséder un jardin est synonyme de bien-être et de bien-vivre. D'ailleurs, à la fin du Moyen-âge les gens aisés des grandes villes auront leurs demeures d'été à la campagne.
Mais l'entretien d'un jardin demande un certain savoir faire, c'est pourquoi des calendriers du "courtil" donneront des conseils judicieux pour bêcher, planter, semer, récolter, en plus de listes exhaustives de fleurs, fruits, légumes et autres plantes aromatiques à utiliser dans des recettes de cuisines élaborées pour chaque occasion.






Si à la campagne, il n'y a pas de ferme sans jardin, qui varie selon le rang social des propriétaires, les humbles continueront de cueillir toutes sortes d'aliments - baies, fruits, champignons, herbes sauvages- dans les haies, les prés et les forêts et aussi de récolter le miel sauvage.
Souvenons-nous que l'homme médiéval croit à l'existence d'intermédiaires entre univers visibles et monde réel, et surtout entre Dieu et les Hommes. Ainsi dans ce monde où religion, coutumes, magie et superstitions cohabitent étroitement, le sens du mystère et du merveilleux se retrouve aussi dans les jardins. C'est pourquoi, la nature reste une source intarissable d'inspiration artistique : lieu d'amour en poésie, motifs floraux en architecture, dans l'enluminure, et la tapisserie aux mille fleurs des bords de Loire, les rosaces des églises gothiques...
Si peu à peu, le jardin utilitaire se transforme en jardin de détente et de plaisir, il conservera toujours des espaces réservés aux plantes, aux simples et plus tard aux fleurs.

Le jardin -représentation symbolique du Paradis terrestre- sert au Moyen-âge à nourrir aussi bien les âmes que les hommes.
Cet espace clos, conquis sur les forêts dès le VIIème siècle, doit rester intimiste, protecteur et parfaitement entretenu.
Qu'il soit jardin monastique, jardin princier ou seigneurial et plus tard jardin extraordinaire et facétieux, cet espace est l'endroit où l'homme médiéval trouve de quoi se nourrir et se soigner, car la vie en autarcie nécessite de pouvoir assurer sa subsistance.
Ainsi et contrairement aux nobles qui conçoivent le jardin comme un espace de détente et de loisirs, marchands et artisans qui peuplent les villes ont tous un jardin hors les murs.
Dès le XIIè siècle, les riches marchands prennent l'habitude d'entretenir une maison des champs en plus de leur demeure en ville, car posséder un jardin est synonyme de bien-être et de bien-vivre. D'ailleurs, à la fin du Moyen-âge les gens aisés des grandes villes auront leurs demeures d'été à la campagne.
Mais l'entretien d'un jardin demande un certain savoir faire, c'est pourquoi des calendriers du "courtil" donneront des conseils judicieux pour bêcher, planter, semer, récolter, en plus de listes exhaustives de fleurs, fruits, légumes et autres plantes aromatiques à utiliser dans des recettes de cuisines élaborées pour chaque occasion.






Si à la campagne, il n'y a pas de ferme sans jardin, qui varie selon le rang social des propriétaires, les humbles continueront de cueillir toutes sortes d'aliments - baies, fruits, champignons, herbes sauvages- dans les haies, les prés et les forêts et aussi de récolter le miel sauvage.
Souvenons-nous que l'homme médiéval croit à l'existence d'intermédiaires entre univers visibles et monde réel, et surtout entre Dieu et les Hommes. Ainsi dans ce monde où religion, coutumes, magie et superstitions cohabitent étroitement, le sens du mystère et du merveilleux se retrouve aussi dans les jardins. C'est pourquoi, la nature reste une source intarissable d'inspiration artistique : lieu d'amour en poésie, motifs floraux en architecture, dans l'enluminure, et la tapisserie aux mille fleurs des bords de Loire, les rosaces des églises gothiques...
Si peu à peu, le jardin utilitaire se transforme en jardin de détente et de plaisir, il conservera toujours des espaces réservés aux plantes, aux simples et plus tard aux fleurs.

Le jardin -représentation symbolique du Paradis terrestre- sert au Moyen-âge à nourrir aussi bien les âmes que les hommes. Cet espace clos, conquis sur les forêts dès le VIIè siècle, doit rester intimiste, protecteur et parfaitement entretenu. Qu'il soit jardin monastique, jardin princier ou seigneurial et plus tard jardin extraordinaire et facétieux, cet espace est l'endroit où l'homme médiéval trouve de quoi se nourrir et se soigner, car la vie en autarcie nécessite de pouvoir assurer sa subsistance. Ainsi et contrairement aux nobles qui conçoivent le jardin comme un espace de détente et de loisirs, marchands et artisans qui peuplent les villes ont tous un jardin hors les murs. et dès le XIIè siècle, les riches marchands prennent l'habitude d'entretenir une maison des champs en plus de leur demeure en ville, car posséder un jardin est synonyme de bien-être et de bien-vivre. D'ailleurs, à la fin du Moyen-Age les gens aisés des grandes villes auront leurs demeures d'été à la campagne et à la ville.
Mais l'entretien d'un jardin demande un certain savoir faire, c'est pourquoi des calendriers du "courtil" donneront des conseils judicieux pour bêcher, planter, semer, récolter, en plus de listes exhaustives de fleurs, fruits, légumes et autres plantes aromatiques à utiliser dans des recettes de cuisines élaborées pour chaque occasion. Si à la campagne, il n'y a pas de ferme sans jardin -qui varie selon le rang social des propriétaires- les humbles continueront de cueillir toutes sortes d'aliments -baies, fruits, champignons, herbes sauvages- dans les haies, les prés et les forêts et aussi de récolter le miel sauvage
Souvenons-nous, l'homme médiéval croit à l'existence d'intermédiaires entre univers visibles et monde réel et surtout entre Dieu et les Hommes. Ainsi dans ce monde où religion, coutumes, magie et superstitions cohabitent étroitement le sens du mystère et du merveilleux se retrouve aussi dans les jardins. C'est pourquoi, la nature reste une source intarissable d'inspiration artistique : lieu d'amour en poésie, motifs floraux en architecture, dans l'enluminure, et la tapisserie aux mille fleurs des bords de Loire, les rosaces des églises gothiques...
Si peu à peu, le jardin utilitaire se transforme en jardin de détente et de plaisir, il conservera toujours des espaces réservés aux plantes, aux simples et plus tard aux fleurs.

Découvrez les coulisses du patrimoine de Gap !
Du 19 au 21 septembre 2025, vivez trois jours de découvertes à l’occasion des Journées européennes du patrimoine.
Au menu : lieux insolites, visites uniques et expériences à partager en famille ou entre amis.
Grâce à l’implication des associations et des structures locales, un programme riche et accessible à tous vous attend.

À explorer ici ???? :
https://www.calameo.com/read/0052334694cddfcc8f387

En partenariat avec Atout Choeur, participation libre, durée 1h45.

Dans le cadre des 42e Journées européennes du patrimoine
Thème 2025 : le patrimoine architectural

L’architecture façonne nos paysages et notre mémoire culturelle. Ce thème mettra ainsi l’accent sur les réalisations artistiques et techniques de l'architecture qui, au-delà de leurs fonctions et usages évoluant au cours des temps, constituent souvent un point de repère important tant du point de vue de l'histoire que de la mémoire collective.
Cette édition sera aussi l’occasion de célébrer l’action des architectes et des constructeurs. Les anonymes, dessinateurs de nos églises, châteaux, ceux qui ont signé leurs œuvres, comme le Corbusier, Achille de Panaskhet, … et ceux d’aujourd’hui, chargés de la conservation et de la restauration des monuments historiques.

Visites commentées ou libres, ouvertures exceptionnelles, circuits à thème, balades, ateliers, conférences, concerts ou encore expositions, c'est le moment de partir à la découverte de la diversité du patrimoine.
Lors de ces journées, les organisateurs offrent une gratuité de principe dans les monuments publics et des tarifs préférentiels pour les structures privées. Dans ce programme, les propositions sont gratuites, sauf mention contraire. Attention, certaines sont sur inscription pour un meilleur accueil des participants.

Le service Patrimoine des Communautés de communes de Serre-Ponçon et du Guillestrois-Queyras coordonne les initiatives d’une trentaine de structure. Un coup de projecteur est orienté vers les thèmes décidés par le ministère de la Culture.

En avant-première : levez les yeux
Des actions à destination des scolaires sont menées pour évoquer les canaux d’irrigation, leur histoire et leur importance en matière de biodiversité, en partenariat avec le Parc national des Ecrins.

Téléchargez l'application Archistoire sur votre smartphone ou tablette, rendez-vous dans l'onglet "Var" puis "La Seyne-sur-Mer" pour visiter les chantiers Seynois.
Sur place ou à distance, profitez d'une immersion 360°au cœur de l'industrie seynoise aujourd'hui disparue.

Le Salon International reçoit cette année une trentaine d’Artistes : Peintres ; sculpteurs ; plasticiens ; photographe venus de tous horizons

Cette 29e édition invite le public à découvrir l’univers des artistes sur 2 niveaux d’exposition en entrée libre

Pour mieux "percevoir" la société dans laquelle nous vivons, il nous faut comprendre et connaître le patrimoine dans son contexte historique et social.
Les Journées Européennes du Patrimoine sont une réelle opportunité pour l'appréhender.
A cette occasion, divers monuments sont ouverts au public et des animations sont proposées en métropole et dans les territoires Outre-Mer.

Découvrez Ariane et l'association De Fil en contes :
- https://de-fil-en-contes.assoconnect.com
- https://www.facebook.com/defilencontes/

A travers le thème « Patrimoine Architectural », ces 42e Journées Européennes du Patrimoine vous invitent à découvrir ce que les murs racontent : des savoir-faire transmis de génération en génération, des styles qui ont traversé les siècles.
Mais c'est aussi une occasion de porter un regard neuf sur le patrimoine qui nous entoure.
Bonne découverte à tous !

Flânez autour de ces véhicules neufs.
Exposés sur le Front de Mer, des professionnels seront sur place pour vous fournir tous les renseignements que vous désirez.

Vendredi 19 septembre 2025 • 18h
Conversations itinérantes au fil de la Sorgue • Jardin Folco de Baroncelli • Inscription obligatoire.

Samedi 20 septembre 2025 • 9h30 > 12h30
Patrimoine des Pitchouns pour les 0-6 ans • Place de l’église.

Samedi 20 et dimanche 21 septembre 2025 • 18h30
Visites guidées de l’église Notre-Dame-du-Lac

À cette occasion, l’Office de Tourisme vous invite à vivre une expérience immersive, accompagné d’une guide professionnelle. Partez à la découverte de six lieux historiques et emblématiques de L’Isle-sur-la-Sorgue, transformés pour l’occasion en galeries d’art éphémères.

Le thème de cette édition, « L’art en grand », vous plonge dans l’univers de la création contemporaine à travers des œuvres monumentales, sensibles et audacieuses, en dialogue constant avec l’histoire, l’architecture et l’identité de la ville.

Cette visite guidée vous permettra de mieux comprendre les démarches artistiques, d’explorer les liens entre patrimoine et art contemporain, et de porter un regard nouveau sur la ville et ses espaces publics, entre réalité et imaginaire. Un moment de découverte, de partage et d’émotion, accessible à tous, pour vivre l’art autrement à L’Isle-sur-la-Sorgue.

A partir de 18 heures, venez découvrir le domaine à travers une visite privée de notre chai de vinification et notre chai à barriques.
Poursuivez votre exploration par notre exposition temporaire dédiée aux costumes des films Gladiator I & II.
La soirée se conclura par une dégustation commentée de nos cuvées, accompagnée de bouchées gourmandes.

Départs des visites :
18h / 18h30 / 19h / 19h30 / 20h

Questionnons l’émergence de ce nouvel art, tant à l’échelle locale qu’au niveau national et international, sans
oublier de montrer l’importance de cet art ailleurs que dans la rue, à savoir dans les lieux abandonnés qui
mènent à l'urbex.

Cette pièce embarquée est née de deux années de rencontres avec les populations des zones portuaires abordées par l’Hétérotope. Elle met à l’honneur les grandes navigatrices, des premières circumnavigatrices aux pionnières de la croisière de plaisance, en passant par les femmes pirates ou les capitaines-courage qui commandent les bateaux de sauvetages.
Elles voguent de port en port, pour inviter à respirer l’air du large, celui qui nous gonfle d’envies, celui qui ramène sur les rivages nos rêves froissés de l’enfance. Dans leurs cales, il y a le sel de la vie, le vent de l’envie, le fil de l’eau. Il y a des amarres à déferler, retendre, larguer pour hisser les voiles de la liberté et faire reculer l’horizon. Dans l’intervalle suspendu d’une escale, elles chantent les navigatrices qui ont trouvé l’audace de tutoyer l’horizon. Leurs escales sont des appels au voyage, à la rencontre, à l’autre, à l’inconnu, à l’étranger, tous ceux qui peuplent leur littoralité.

Cie C'est la Goutte d'eau
Texte : Mandine Guillaume
Mise en scène : Emilien Urbach
Création musicale : Clément Althaus
Avec : Emilie Jobin, Caroline Fay, Mandine Guilaume et Jérome Kocaoglu

Attention : jauge très limitée, réservation obligatoire !

Le tarif comprend :
- Apéritif
- Tian
- Salade/fromage
- Dessert
- Café
- Boissons

Vernissage : vendredi 19 septembre à 18 heures

Formé à Strasbourg, installé à Montpellier, Joël Faivre-Chalon n’a jamais considéré le bijou comme un simple ornement : ses bijoux sont le fruit de patientes recherches menées tant sur la forme (plutôt épurée) que sur la technicité ou bien encore sur les matériaux. Joël Faivre-Chalon était aussi à l’aise avec le laiton, l’argent que les matériaux innovants tel le titane, le formica® ou la fibre de carbone.

Grâce à un ensemble d’archives, de photographies, de dessins, de croquis et un corpus d’œuvres et de prototypes généreusement confiés au musée du Bijou contemporain par l’épouse de l’artiste, l’exposition retrace la carrière artistique de Joël Faivre-Chalon et met en lumière son processus créatif.

Des visites commentées, des ateliers, une monographie (publication en décembre) et un livret distribué gratuitement à l’accueil du musée permettront d’accompagner le public dans sa découverte de l’exposition et de l’œuvre de cet artiste qui a marqué son époque.

Labellisé Jardin remarquable depuis 2010, le Pavillon de Galon situé à deux pas du village de Cucuron a été bâti au XVIIIème siècle sur un domaine de 12 ha. Il représente un exemple pratiquement intact d'une maison de villégiature, précédé d'un jardin d'agrément.

En compagnie des propriétaires, vous découvrirez toutes les strates d'histoire qui racontent les lieux ainsi que les plantes et fleurs qui composent ce jardin monochrome à la française. On y trouve notamment des plantes méditerranéennes, 150 variétés de fruits, une profusion d’iris et une collection complète d’artichauts français. Les allées sont bordées de grands cyprès bicentenaires et le pavillon est entouré de platanes pluri-centenaires.

Vous serez éblouis par la beauté et l'élégance du lieu. Au pied du Luberon, face au sud, les terrains sont isolés avec une vue imprenable sur le massif.

Vous finirez votre visite par un moment convivial autour d'un verre dans le jardin.