Agenda

Notre façon de manger a été totalement bouleversée. Nous sommes face à une opulence alimentaire, mais elle a un prix à payer en termes d'émissions de gaz à effet de serre... Projection suivie d'un échange avec une nutritionniste.

Forte d’une expérience solide et durable, elle propose aujourd’hui une large gamme de jeux, jouets en bois et jeux d’extérieur, pensés pour ravir petits et grands.

Venez découvrir leurs créations et laissez-vous séduire par le charme intemporel du bois !

Le Lac des cygnes a été présenté la première fois à Moscou en 1877.

L’histoire d’amour du prince pour une jeune fille, transformée en cygne par un sorcier, est un sujet fantastique où la danseuse principale a un double personnage à jouer et à danser – Odette, cygne blanc, lyrique et poétique, Odile, cygne noir, maléfique et fatal.

La musique de Piotr Tchaïkovski transporte le spectateur dans un univers poétique, un univers de grâce, d’élégance et de beauté infinie.

La splendeur des décors et des costumes, l’esthétique et la poésie de la danse classique, interprétée avec brio et élégance, font de ce spectacle un vrai joyau.

A voir absolument !

Lors de cette soirée unique, vous aurez l'occasion de découvrir 5 humoristes locaux et talentueux, chacun proposant un passage de 10 minutes dans un univers qui leur est propre.

De la satire à l'humour absurde en passant par les anecdotes du quotidien, chaque artiste saura apporter sa touche pour vous faire passer une soirée mémorable dans un cadre atypique !

Sur réservation.

Marion Zurbach lève un premier voile sur son chantier en cours, Summoning a chorus of vilaines. La chorégraphe, en solo, met en jeu et en perspective l’enseignement classique qui l’a formée, et le chemin qu’elle parcourt pour en libérer son corps. Dans le tiraillement d’une exploration où s’opposent -et souvent se superposent- la tension vers un beau idéalisé et le ressenti du corps contraint domestiqué, sa performance explore les conditions d’existence du monstrueux et le système qui permet de le produire.

Inspirée par les créatures de vilaines, nuisibles et invasives, Marion part à la recherche d’une poétique des figures impures et fantastiques. La performance met en scène le cheminement visant à activer des présences réelles ou fantasmées. Des créatures tapies dans un devenir encore inaccompli.
Durée : 30 min + conversation

Distribution
concept et performance Marion Zurbach
création musique Zooey Agro?
dramaturge Arthur Eskenazi
création costumes Silvia Romanelli?
lumières et technique Nils Doucet
production Maxine Devaud
administration CH Angie Menillo / oh la la - performing arts production
administration FR Raphaël Soleilhavoup?

"La charmante paysanne Giselle aime Albrecht qui, sous ses habits de villageois, s’avère être un duc. Lorsqu’elle découvre qu’il ne pourra l’épouser car il est déjà fiancé, Giselle sombre dans la folie et meurt. Elle est alors recueillie par les vengeresses Wilis, âmes des jeunes filles délaissées par un amant infidèle. Giselle choisira-t-elle de châtier ou de pardonner ?

Créé en 1841 à l’Académie royale de Musique – ancêtre de l’Opéra de Paris –, ce ballet de Jules Perrot et Jean Coralli, ici adapté par Patrice Bart et Eugène Polyakov, a ouvert une nouvelle esthétique dans l’histoire de la danse occidentale. Chaussons de pointes, arabesques et longs tutus blancs contribuent à évoquer un univers fantastique et diaphane, devenu l’incarnation même du romantisme.

Ballet en deux actes. Enregistré à l’Opéra national de Paris / Palais Garnier
Chorégraphie : Jean Coralli et Jules Perrot adaptée par Patrice Bart et Eugène Polyakov
Direction musicale : Koen Kessels"

Organisée dans le cadre de la Saison Culturelle de Sciences Po Aix, assistez à une conférence de Rima Abdul-Malak autour des politiques culturelles publiques. La rencontre sera modérée par des étudiants du M2 Politique Culturelle et Mécénat.

Intervenante : Rima Abdul-Malak, Ministre de la Culture de 2022 à 2024

Née en 1979, Rima Abdul-Malak passe les dix premières années de sa vie à Beyrouth avant que sa famille, fuyant la guerre civile, ne s’installe à Lyon. Après des études de sciences politiques, elle commence son parcours dans l’humanitaire, auprès du CCFD-Terre Solidaire puis de Clowns sans frontières. Elle se dirige ensuite vers la coopération culturelle à l’Institut français où elle est responsable de la diffusion de la scène musicale française à l’international. Elle rejoint la Mairie de Paris en 2008, d’abord comme conseillère spectacle vivant de l’adjoint à la culture, puis comme directrice de son cabinet avant de devenir la conseillère culture de Bertrand Delanoë. En 2014, elle est nommée attachée culturelle à l’Ambassade de France à New York, où elle œuvre au renforcement des échanges artistiques entre la France et les Etats-Unis. A son retour en 2019, elle devient la conseillère culture d’Emmanuel Macron et joue un rôle clé pendant la crise du Covid.

De 2022 à 2024, elle est ministre de la Culture dans le gouvernement d’Elisabeth Borne. Son mandat est marqué par l’ouverture de la Cité internationale de la langue française à Villers-Cotterêts, la reconstruction de la cathédrale Notre-Dame de Paris, un plan national pour les métiers d’art, deux lois majeures sur les restitutions, la taxation des plateformes de streaming pour soutenir l’industrie musicale, la défense résolue de l’audiovisuel public, son engagement contre les violences sexuelles dans le monde de la culture et l’initiative La Relève pour renouveler le vivier des futurs dirigeants culturels. Sans oublier la poésie, qu’elle insuffle au ministère avec le « Rima poésie club » et les nuits de la lecture, comme dans la plupart de ses discours.

Sa devise – empruntée à Dostoïevski : la beauté sauvera le monde !

Dans ce vaudeville, Feydeau pousse l’art du quiproquo à l’extrême et, pour notre plus grande joie, révèle nos contradictions profondes, déchirées entre la paisibilité de nos vies confortables et la sauvagerie de nos passions. Horriblement drôle.

Pontagnac suit une femme dans la rue depuis huit jours parce qu’il en est tombé fou amoureux. Il finit par s’introduire chez elle et se retrouve nez à nez avec son mari. Stupéfaction : il s’agit de Crépin, un vieil ami avocat. Lucienne, honnête et fidèle, consentira à prendre un amant à la seule condition de surprendre son mari dans les bras d’une autre. Crépin, n’ayant au premier abord aucune envie d’aller voir ailleurs, se retrouve pris au piège lorsqu’une de ses anciennes conquêtes le recontacte et menace de se tuer s’il refusait de partager ses draps. Entre infidélités et malentendus, l’intrigue se tisse autour d’une multitude de péripéties surréalistes, de rebondissements, de femmes cachées dans le placard, de maris empêtrés… Les répliques sont mordantes et les échanges insensés, offrant tour à tour à chaque personnage le précieux rôle de “dindon” de la farce.

Appartenant à la nouvelle génération de metteurs en scène qui redonnent vie aux grands classiques, Maryse Estier propose ici une vision audacieuse de Feydeau. En collaboration avec sa complice Clémence Longy, elle en révèle toute la richesse dramaturgique tout en explorant ses facettes les plus décalées. Oscillant entre rêve et cauchemar, Le Dindon de Maryse Estier apaise les tensions pour laisser place à un rire libérateur et salvateur.

Avec Nicolas Avinée, David Casada, Marie Druc, Dylan Ferreux, David Gobet, Capucine Lhemanne, Clémence Longy, Mariama Sylla

Synopsis

Clarissa, romancière en mal d’inspiration, rejoint une résidence d’artistes prestigieuse à la pointe de la technologie. Elle trouve en Dalloway, son assistante virtuelle, un soutien et même une confidente qui l’aide à écrire. Mais peu à peu, Clarissa éprouve un malaise face au comportement de plus en plus intrusif de son IA, renforcé par les avertissements complotistes d’un autre résident. Se sentant alors surveillée, Clarissa se lance secrètement dans une enquête pour découvrir les réelles intentions de ses hôtes. Menace réelle ou délire paranoïaque ?

De Yann Gozlan | Par Nicolas Bouvet, Yann Gozlan

Avec Cécile de France, Mylène Farmer, Lars Mikkelsen

Suivi d'un débat avec Waltraud Verlaguet

Découverte du monde marin, sur et sous l'eau :
Des animations pour les scolaires & pour les enfants.
Une quarantaine de stands, des expositions, projections et conférences ainsi que des photos et des vidéos sous-marines.
des animations extérieures (visite des salins, sentiers sous-marins archéologiques)

Le tout dans une ambiance sympa et décontractée ! Paul Watson sera le parrain de cette édition 2025 à Hyères.

Argument de sa conférence :
Comment est-on parvenu à persuader de la nécessité de lutter, parfois au nom de la défense de la rationalité, contre le « wokisme », épouvantail dont l’usage s’est imposé alors même que les manifestations de wokeness, c’est-à-dire d’éveil à l’injustice, d’attention aux inégalités, sont des indices d’un fonctionnement souhaitable de la démocratie ? Ce paradoxe pourrait bien renvoyer à la volonté réactionnaire d’accroître la confusion des idées et de brouiller les catégories discursives. Comment « wokisme », terme exclusivement polémique renvoyant à un prétendu péril nouveau, a-t-il pu en venir à désigner une chimère pour tenter de camoufler une stratégie de stigmatisation des idéaux démocratiques ?

C’est un art japonais : le Rakugo.
Le conteur, assis sur les genoux interprète son histoire et mime, à l’aide d’un éventail et d’un tissu, les situations les plus extravagantes ! Un voyage dans le temps, de l’ère Meiji à nos jours, pour découvrir le Japon comme vous ne l’avez encore jamais vu.

Tout public à partir de 7 ans

Quitte à rassembler autant le faire en buvant des coups, en mangeant un bout, en écoutant de la musique, du jazz.
En novembre la Caverne accueille les brésiliens Wallace Negao et Trio Combo Brazil.

Pendant quatre jours, nous prendrons donc la parole, donnerons de la voix, chuchoterons à l’oreille de nos voisins et peut-être même hausserons-nous le ton. Et nous fêterons les sons, les pluriels, les accents. Comme un besoin d’éprouver ce que signifie « être ensemble » pour formuler des idées, le temps d’un long week-end en forme de promesse : celle de prendre langue, de se parler.



Prendre langue, converser : table ronde animée par Jean-Christophe Ploquin (La Croix).


La conversation est une façon d’être ensemble : se reconnaître, s’interroger, se comprendre. Peut-on en retracer l’histoire ?
Mesurer les pouvoirs de la parole ? À l’heure de l’intelligence artificielle et des débats décrétés impossibles, où le discours se confond avec la défense d’un camp, peut-on dire que la conversation est en danger ?



Avec Lætitia Bucaille, professeure de sociologie politique à l’Inalco, membre de l’Institut universitaire de France ; Gloria Origgi, philosophe, chercheuse au CNRS, Institut Jean Nicod ; Pierre Chiron, helléniste, philologue, historien de la rhétorique.



Entrée libre, réservation conseillée.

A? travers Gustave Eiffel, vivez l’incroyable aventure de la Re?volution Industrielle avec ses grands hommes, ses formidables inventions et ses coups bas. 1888. A? 3 mois de l’inauguration de la Tour Eiffel, les ouvriers se mettent en gre?ve. Comment Eiffel va-t-il ge?rer cette crise ?

Découvrez l'homme, l'ingénieur, le visionnaire...

Animatrice randonnée diplômée d'Etat vous propose cette mini-rando de 2 heures au centre ville de Hyères. Une manière originale de découvrir la ville, muni de vos baskets!

-- Cette balade a été primée "Travelers' Choice 2025" par Tripadvisor --

Lors de ce circuit d’environ 4 km, je vous emmène découvrir :
- les ruelles de la vieille ville et les différentes portes d’enceintes datant du Moyen Âge
- les monuments et les édifices qui font la renommée de la ville : la Tour des Templiers, la Villa Noailles et le Château de Hyères
- les différents parcs classés « Jardins Remarquables » : le Parc Saint Bernard et le Parc Sainte Clair

Pour plus de convivialité, le groupe n’excède pas 6 à 8 participants.

Accessible dès 6/7 ans.

Si cette date ne vous convient pas, sachez que cette balade peut être organisée sur demande à la date de votre choix (minimum 2 personnes). N'hésitez pas à me contacter.

English speakers are welcome!

Qui mieux que la comédienne Béatrice Dalle, le rappeur Youv Dee et le musicien Bastien Burger pour rendre hommage à Kurt Cobain, l'idole de toute une génération?
Dans un même élan rock, ils attrapent l'âme du leader de Nirvana et transcendent la lecture musicale.

Le quartet comme un idéal complet, porté par une écriture personnelle et un jeu résolument collectif, deux idées premières proposées à nouveau à un monde post-pandémique, ses incertitudes, ses violences, et malgré tout peut-être aussi ses promesses.

La pianiste aux multiples récompenses revient avec un nouveau répertoire fait de formes plus ou moins attendues, de lignes mélodiques plus ou moins domptables, d’harmonies et de rythmes plus ou moins complexes… pour jouer, encore et encore.

Simple credo de quatre artistes unis par l’amour d’une culture désormais centenaire autant que par la foi en un futur possible, ensemble avant tout, mais peut-être aussi pour moquer un peu nos épuisements post-modernes et continuer à croire en une musique à partager, qui célèbre d’autant mieux le mystère de l’existence qu’elle sait aussi en panser quelques plaies.

Après des années passées à se cacher derrière son costume de magicien, François Martinez décide de tomber le masque et de se révéler tel qu’il est vraiment. Dans ce spectacle sincère et mordant, François s’attaque au sujet qui l’effraie le plus : lui-même.




Avec beaucoup d’autodérision, il nous invite à réfléchir sur nos propres choix de vie, ces fameuses “bonnes questions” qu’on commence enfin à se poser quand on arrête de courir après le temps. Il prouve qu’à 45 ans, on peut apprendre à s’aimer… sans artifice et que, parfois, après s’être perdu et cherché, on finit par se trouver pour de bon. Et cette fois, il ne vous demandera pas de penser à une carte.



Ou alors juste une ou deux fois parce qu’on a beau être enfin soi, on ne se refait pas à 100%. Vous l’avez peut-être déjà vu dans la saison 13 du Jamel Comedy Club, au Montreux à Cannes ou entendu dans ses chroniques régulières sur Rire et Chansons, François est de retour avec son one-man-show d’une efficacité redoutable, aussi drôle que bluffant.

Imaginez un spectacle où la musique devient le fil conducteur d’une vie, où chaque chanson est une porte ouverte sur des moments de doute, de joie ou de libération.


C’est ce que propose « A te regarder », une création intergénérationnelle portée par trois artistes interprètes et musiciennes, ainsi que par la comédienne Laurence Janner.


Plongeant dans les souvenirs intimes d’une femme, Clémentine Baert nous entraîne dans une balade émotionnelle, entre bals populaires et confessions personnelles.



Durée 55mn - à partir de 8 ans
Texte et mise en scène Clémentine Baert
Interprétation Clémentine Baert, Amélie Dénarié, Laurence Janner, Aurélie Mestres




Clémentine Baert
Après des études à L’ERAC, elle joue sous la direction de Pascal Rambert, Georges Lavaudant, Bernard Sobel, Christophe Fiat, Oriza Hirata, Jonathan Capdevielle... Ses différentes collaborations aux projets de Robert Wilson de 1998 à 2002, à New York, en ont fait une artiste cosmopolite et singulière. Au cinéma, elle travaille avec Jean-Charles Fitoussi, Emmanuel Mouret, Siegrid Alnoy, Olivier Dahan, Philippe Lioret, Wim Wenders, Cédric Anger, Guillaume Canet. On a pu la voir dernièrement dans Le Comte de Monte Cristo. Depuis 2001, elle crée des spectacles autour de la question d’identité. Ses récentes collaborations avec l’Odéon Théâtre de l'Europe, le T2G à Gennevilliers et le Festival d’Automne auprès d’adolescents et de personnes en services gériatriques nous ont particulièrement intéressés dans le cadre d’Aller Vers.